Une soirée innoubliable

Une légère brise soufflais ce qui m'aida a mieu respirer. Après 5minutes, qui me parurent une éternité, je réussis enfin à me calmer mais lui avait l'air inquiet. Je voulais lui expliquer la raison de mon malaise, mais il me devença en m'expliquant que j'étais toute rouge et me demandant si ça allais mieux. Je n'eus à nouveau pas le temps de répondre qu'il colla son front contre le mien. Comment s'empêcher de rougir?? Son visage était si près du mien que je sentais son souffle se heurter a ma peau. Je sentis mes joues se mettre à brûler.

Rin: c'est la suze qui t'as fait ça? Assis toi un peu, peut-être que tu es fatiguer, à moinque tu ne supoprte pas la suze.

J'étais toujours gênée, affreusement gênée. Je sentais encore la chaleur de son front contre le mien. Mais je me résolu a lui répondre. Tout d'abord je secouai doucement la tête.

-Non j'en ai pas bu une goutte, mais il m'arrive de faire des malaise quand je suis dans la foule... Je suis désolée.

Je le regardais s'asseoir à côté de moi... Il était si proche, que mes joues durent réagir en conséquence. Il me donna meme de l'eau, eau que j'egloutis rapidement. Puis me demanda si j'allais mieu. Pour seule réponse j'hochai la tête. Puis j'appuyai celle ci contre son épaule, il me croyais malade. Alors pourquoi pas en profité? Avant qu'il ne réagisse je posai ma main sur la sien en murmurant:

-Laisse moi resté ainsi s'il te plaît

Après lui avoir donner de l'eau elle hocha la tête pour dire que ça aller mieux, puis elle posa sa tête sur mon épaule, j'ai crus que min coeur aller exploser tellement j'était heureux. Puis après qu'elle pose sa main sur la mienne, elle ma murmurait:

Keiko: Laisse moi resté ainsi s'il te plaît

je sourit,puis je lui dit:

Rin: tu peus resté ainsi autant que tu veux!

je resta un petit môment, puis je la pris dans mes bras, elle était froide donc je l'ai prise pour la réchauffer, je la serra un peu et mes flammes pouvaient la réchauffer un peu car se vent glacial, n'était pas bon, elle risquait de tombé malade, puis je la regarde et je lui dit:

Rin: ça va tu n'as pas froid?

je voyais qu'elle tremblait un peu alors j'ai continuais à la réxhauffer, j'étais trop heureux, un fille ausssi belle dans mes bras je pourrais en pleurer, je crois que je n'oublirais jamais cette soirer. puis je lui demende:

Rin: tu veux resté comme ça ou tu veux rentrer?

puis je lui ai mis ma veste sur elle, elle je la repris dans mes bras.

Rin: tu peus resté ainsi autant que tu veux!

Autant que je voudrai ? Alors je resterai ici pour l'éternité. Soudain au bout d'u moment, Rin me pris dans ses bras, m'étreignant contre lui. A cet instant ce n'était plus que pour l'éternité que je voulais rester dans ses bras, non c'était encore plus longtemps. J'avais rougis sans m'en rendre compte. De toute façon, lorsque j'étais avec lui c'était presque automatique: mes joues passaient au rouge, mon pou s'accelerait, tout mon corps était nerveux. Dans ses bras il faisait chaud et je me sentais bien. Il me demanda alors si j'avais froid, je secouai négativement la tête, meme si je tremblais toujours un peu. Puis alors il me demanda si je préférais rester dehors ou rentrer. A ses mots mon corps réagit tout seul. Je m'agripai a lui pour qu'il ne parte pas et collai ma tête a son torse.

- Je veux resté seule avec toi, je veux rester dans tes bras.

J'avais murmurer sa sans y pensé... Mais que se passait-il chez moi? Etais-je vraiment malade pour dire haut et fort se que je pensais ? Je me mis a rougir mais maintenant que c'était dit je ne voulais le lacher.

elle se serra contre moi tou en secouant la tête pour me dire qu'elle voulait rester au près de moi je la pris dans mes bras et je la calinais, le vent glacial ne pouvait passer à travers mes flammes, elle s'y sentait bien, et moi aussi d'ailleur, j'aimais bien la tenir dans mes bras, elle a la peau douce, des cheuveux noir soyeux, une beauté parfaite, puis elle murmure:

Keiko:Je veux resté seule avec toi, je veux rester dans tes bras.

j'ai eu un dôle de sentiment mon coeur c'est accélérer puis mes joue sont devenue rouge, comment pouvais-je, espéret que keiko me dise cela, pour moi c'était magnifique, je la regarde et je lui dis:

Rin: tu peux rester là autant que tu veux, je serai là pour toi.

je continuais de la caliné et de la serrer contre moi, j'avais envie de l'embrasser mais j'ai préférer m'abstenir, je continuais à la carresser puis on voit sortir un couple, vue comme ils marchaient, il étaient surement bourer, je regarde ma montre il n'était que 00h30, l'heure ou on commence à ataquer les alcools forts, il se dirigeaient vers les dortoirs, puis je me retourne vers keiko et je l'embrasse sur le front.

J'avais peur de me faire rejeter, car meme si j'avais une étiquette de croqueuse d'homme, je n'avais jamais eu de vrai petit copain. Je n'avais pas l'habitude d'être si proche d'un homme et que l'un deux me fasse cet effet là. Avec Rin, j'avais l'impression qu'avant je ne savais rien de la vie. Rin m'apportais ce que je n'avais jamais connu, cet effet comme si j'avais des ailes qui me poussait dans le dos. Soudain il me ressera contre lui, encore plus fort. Mon coeur battait si fort qu'on aurait pu croire qu'il allait sortir de ma cage thoracique. Mais se n'était rien jusqu'à ce qu'il m'eut dit:

Rin: tu peux rester là autant que tu veux, je serai là pour toi.

Il continuait alors de me câliner, ce qui me rendais folle. Je me mis à rougir, tellement mon coeur battait a la chamade. Je me collai à lui puis levai la tête assez soudainement. Ce qui me fit rougir d'autant plus, que nos lèvres n'étaient plu qu'à quelques cetimètres l'un de l'autre. Que faire ? Je ne voulais pas me retirer. Je voulais... l'embrasser, que ses lèvres s'impraignent des miennes. Puis en une seconde je me rendis compte qu'il croyait toujours que j'étais soul. Je profitai donc de cette occasion pour fermer peu a peu les yeux. S'il voulait il pourrait m'embrasser mais si au contraire je le répugnais je metterais sa sur la faute de l'alcool. Je me rapprochai encore, jusqu'à se que ma poitrine touchent son torse, juste écarter par nos habits. J'esperais qu'il sentirait ainsi les battement de mon coeur qui augmentait au fils des secondes.

Keiko leva la tête et devint plus rouge encore nos lèvre étaient très proche, j'avais envie de l'embrasser, mais si je me prend un rateau je croi que je me sentirais mal, très mal même. Puis je sentis qu'elle se rapprochait peu à peu, je sentais sa poitrine qui s'écrasait contre mon torse, je sentais son coeur battre à la chamade, et sans me rendre contre, j'ai commençais à l'embrasser, j'ai hésitais avant puis maintenant c'est trop tard, comment pouvais- je me rattrapper, puis je me suis dit, ce qui est fait est fait! puis j'ai prolongée le baisé avec tendresse tout en la calinant, je me collais à elle, ses lèvres étaient chaudes et douces, je ne voulait plus les quitter car c'était la seul, qui me donna de tels sentiment envers une femme. Je stresser un peu ou cas ou elle me foutait un rateau mais de l'autre monde, donc je faisais attention à ne pas brusquer les choses, j'avais l'impretion d'avoir chaud, plutôt bizarre pour quelqu'un qui contrôle le feu bleu divin et puis je sentais mon coeur battre à pleine allure, j'avais l'impression de me sentir léger. Tout était calme comment dire, il y avait pas un bruit sauf peut-être le son du vent qui sifflait à travers les arbres. je la fixais puis je commençais à la carresser, je me blottis contre elle, je sentais son coeur contre ma joue au travers de sa poitrine, je me sentais comme en sécuriter, comme si j'avais quelqu'un que je connaissais depuis toujours qui veillait sur moi. je commençais à la caliner puis je l'embrassais, et je lui demende:

Rin: tu veux rester là ou tu veux aller autre pars?