Castiel Allen

Carte d'identité

Physique

Oh, tiens, bonjour ! Vous venez aider une pauvre vieille en difficulté ? Non ? Bah bien sur... Ces jeunes... Tous des ptits cons... Comme ces deux voyous ! Qui sont-ils ? Je n'en ai aucune idée, mais ces deux petits rapaces devraient se faire envoyer dans un camp de redressement ! Ils sont facile à reconnaitre vous savez. Enfin, on les confond souvent mais pas avec des inconnus. Le petit Castiel mesure environs 1m62 il me semble, à moins que ce ne soit son frère... Enfin, peu importe ! Ils sont tout les deux très casse pied et ils font la même taille alors bon ! Les cheveux vert, les yeux vert, je n'aurais pas été étonné de les voir se ramener dans de stupide déguisement vert, mais non, ils ont préféré prendre le noir. Ce que je ne comprend pas toutefois, c'est qu'ils disparaissent comme bon leur semble, qui sont-ils au juste ? J'ai entendu parler de vole bien plus grave ces derniers temps... j'en mettrais ma main à couper ! Je suis sur et certaine que c'est l'œuvre de ces deux petits chenapans masqués ! Mais bien sur, on me répond toujours que deux gamins aussi voyant seraient incapable d'un tel prodige. Et c'est là qu'ils sourient, presque moqueurs, comme s'ils me narguaient ! Mais je connais la vérité moi ! Je sais ce qu'ils font en vraie et qui ils sont... Enfin, bon débarra ! Maintenant qu'ils ont quittaient la ville, ils ne m'intéresse plus ! Je ne pouvais plus supporter leurs cheveux ébouriffés de sale gosse, leurs rire narquois d'une voix à peine muet.

Caractère

Vous venez de rencontrer Madame Nelson n'est-ce pas ? Je l'ai entendu crier pendant des heures ce matin, ah... Vivement que cette bonne vieille femme tombe dans les escaliers, c'est moi qui vous le dis ! Comment ? Elle vous a parlé des deux jumeaux ? Ah oui... Ces deux gamins... Ils étaient très embêtant ! Je ne les connais pas personnellement mais je veux bien vous dire ce que je sais. Castiel de ce que j'ai vu, il semblait très joyeux, mais pas dans le genre jeune garçon obéissant et gentil, ça non. Il ressemblait plus à... Un début de racaille qui se moque, fait des farces et qui pourrait faire cramer des voitures ! Le soir parfois, je le voyais avec son frère en train de mettre le feu a des objets ! Ils devraient vraiment être enfermés ces deux gosses... Totalement fou, c'moi qui vous le dis ! Toutefois, entre eux, ils semblent tout de suite plus doux, plus gentils, plus rieurs. Ils rient ensemble, jouent ensemble, se protège mutuellement, ils sont très très soudé. Ces jeunes cancres jouaient les voyous en séchant les cours, préférant dormir l'un contre l'autre sous la neige que de travailler ! Je ne les ai jamais vu pleurer, ni même se disputer, mais parfois, ils ont un regard impassible et sans expression tandis que les flammes danse devant leurs yeux d'enfant.

Lorsqu'un l'un des deux se fait prendre dans une bêtise, l'autre vient tout de suite le protéger, mais ce que j'ai pu remarquer, c'est que Castiel, au contraire de son frère, n'appellera jamais au secours s'il se fait attraper. Peut-être veut-il simplement empêcher son frère de venir vers le potentiel danger. Ils auraient pu être de formidable garçons s'ils n'étaient pas si rebelle. Je me souviendrais toujours de la première fois où je les ai vu dans la rue, tard le soir. Castiel fouillait dans les poubelles pour dégueulasser toute la rue tandis que son frère caressait un chat à côté et les deux jumeaux sont parti en sautillant. je n'ai pas pu voir ce qu'il avait dans la main, mais ça n'avait surement aucune importance. Et puis parfois, on entend des crises de jalousie envers l'un ou l'autre lorsque l'un d'eux à passer trop de temps avec x personne. Ils sont très possessif envers l'un et l'autre je crois. C'est tout ce que je sais, si vous voulez en savoir plus, allez donc chez ce vieux monsieur là-bas. Attendez, donnez moi un papier que je vous écrive l'adresse. Il s'appelle Monsieur John.

Histoire

Oui ? C'est pour quoi ? Oh, j'ai entendu dire que quelqu'un errait depuis quelques heures en demandant des choses... En quoi puis-je vous aider ? Que je vous parle des deux jumeaux ? Et bien... Si vous voulez. Venez, entrez, ça sera plus sympathique de parler autour d'une bonne tasse de thé. Voilà, vous êtes bien installé ? Alors... Par quoi dois-je commencer ? Quand je les ai rencontré ? Très bien...

Voyez-vous, il est fréquent que des clochards viennent dans les environs, mais des enfants, certainement pas. Et pourtant... Ils étaient là, souvent. Vous aurez certainement entendu les gens les traiter de vandales et de voyous, mais ce qu'ils ignoraient tous, c'est qu'ils n'avaient nul part où aller. Je ne l'ai pas su tout de suite, au début, je pensais que c'était deux gamins normaux, peut-être un peu pauvres. Puis je les ai vu dans les poubelles une nuit, la suivante il y étaient toujours, le lendemain, ils mettaient le feu à tout ce qu'ils pouvaient en s'asseyant à côté pour se réchauffer. Ils avaient à peine neuf ans à cette époque... Mais que pouvais-je faire ? J'ai essayé de m'approcher et ils se sont volatilisés ! J'ai appelé des aides, tout ceux que je pouvais, mais nul ne les voyaient jamais. Alors je venais les regarder, pendant des heures je les contemplais ainsi, parfois, je faisais exprès de jeter des plates entier dans un tupéroir pour qu'une fois qu'il fouillerait dans les sacs, ils trouveraient la nourriture et pourrait manger. Je les voyais durant l'hiver, se presser l'un contre l'autre pour ne pas avoir froid, regarder avec peine le feu de joie avant de s'endormir l'un contre l'autre. J'ai réussi à parler avec Castiel et j'ai appris la vérité.

Ils n'avaient pas de parents, parce qu'on ne les aimaient pas, ils étaient des bouche à nourrir en plus et ne faisait que crier. Alors on les avait laissé un jour dans cette ville et ils étaient partis, mais il ne voulait pas être séparé de son frère... Alors il restait dans la rue, pour que jamais on ne les sépare. Ils ne volaient pas parce qu'ils le voulaient, mais parce qu'ils le devaient. Comment survivre sinon ? Nous vivons, mais dans le cas de ces deux jeunes enfants, ils se contentaient de survivre en espérant que tout s'arrangerait. Bien sur, rien ne s'arrange jamais dans de telles conditions. Et puis un jour ils sont parti, emporté par un étrange homme. Je ne les ai jamais revu, mais j'ai la certitude que leur vie est maintenant meilleur.

J'espère vous avoir été utile, repassez me voir quand vous le voudrez.

C'est moi !