Un repos bien mérité pour les docteurs. (Pv Célia.)

Il y a de ces jours, ou les consultations n'en finissent pas, entre les simples doutes, et les questions existentielles, les élèves de ce pensionnat avaient vraiment un besoin évident de réponses. Une chose que je tentai, de mon mieux, de leur apporter. Mais au bout d'un moment, il y avait un trop pleins de répétitions, mon esprit devait, pour ne pas défaillir,prendre l'aire et se perdre dans ses réflexions...Alors, après la fin des horraires, je décidai d'aller sur le toit, car je ne l'avais pas encore fait et que d’après certains élèves, c’était l'endroit parfait pour se détendre.

"Voyons donc les alentours et le ciel de black rose, j’espère juste qu'il n’y aura pas de troupeaux d’élèves, qui, ayant décidaient de sécher les cours, se seraient caché la haut sans vouloir en repartir. Enfin, au vue de la CPE, cela m'étonnerait."

C'est donc, tout en marchant dans les escaliers, que je réfléchissais un peu a ce qui m'était arriver depuis mon arrivé il y' avait moins d'une semaine. C'était juste tout à fait normal, bien que pesant je devais l'avouer, même lorsque j'avais voulus me retrouver seul avec la littérature, je fus déranger par un certain élève.

"Qui est vraiment fort paradoxale je dois dire, un coup il me menace en sachant très bien ce qu'il risque, un autre il m 'invite à ça table, sachant encore qu'il joue un jeu dangereux. Vraiment pas en accord avec lui même"

Sur cette pensées, j'ouvris la porte m'amenant au toit. A ma plus grande satisfaction, il n'y avait pas un seul élève, je n'avais donc pas à jouer à l'adulte responsable ici... A peine arriver, que je me dirigeai lentement à quelques mètre du bord en face de moi, afin d'observer la vue, et constater d'un fin sourire, la beauté de l'environnement. Puis, sans perdre trop de temps je levai la main droite et les yeux au ciel, agrandissant mon sourire sans vraiment faire attention au tour de moi.

Ciel, ris tu ? Toi qui voit, rassemble et couve toute cette humanité dont l'époque est détraqué ? Quel point de vue pourrais tu apporter, que pourrais tu révéler si la parole t'étas donner ?

Je ne m'étais aucunement retenue, sans non plus le crier, j'avais juste libérer cette pensée, sans faire gaffe... Ensuite, en abaissant ma main et en retrouvant mon fin sourire, je me contenta de détaillé le ciel des yeux d'un aire apaiser, serein et surtout, très calme.

Célia s’étira et sentit ses articulations craquer. Elle passa une main dans ses cheveux pour en retirer l’élastique qui les retenait attaché. Un entrainement avait mal tourné plus tôt dans la journée et Célia avait passée l’après-midi à courir dans tout les sens pour tenter de parer au plus grave. Les élèves étaient arrivés dans un sal état, surtout celui qu’elle avait dû recoudre et qui avait perdu pas mal de sang. Des fois elle se demandait se qui se passait dans la tête des élèves pour qu’ils continuent à se battre après s’être pris au coup d’épée dans le ventre et s’être fait casser les deux bras. Elle soupira en montant les escaliers qui menaient au toit. Maintenant que l’heure des cours étaient passé il y avait une grande chance que les élèves l’aient déserté. Elle serait bien allé boire un coup en ville mais elle devait rester au pensionna au cas où ce même élève ait un problème durant les prochaines heures. Du coup elle avait récupérée les bières qu’elle stockait dans le frigo de l’infirmerie, c’est vrai qu’il n’était pas fait pour ça mais c’était mieux que de le laissé dans sa chambre à la porté des élèves, quoiqu’ils étaient capable de s’en procurer par eux même, et avait décidé d’aller les boire sur le toit. Elle arriva enfin au sommet et poussa la porte.
« - Ciel, ris tu ? Toi qui voit, rassemble et couve toute cette humanité dont l'époque est détraqué ? Quel point de vue pourrais-tu apporter, que pourrais-tu révéler si la parole t'était donnée ? »
… Heu … Oui hmm. De toute évidence le toit était occupé et cette personne avait sans doute envie de reste seule. Célia était entrain de se dire qu’elle allait faire demi-tour mais la porte claqua bruyamment dans son dos.

En entendant ce même claquement, de porte, je me retourna lentement, en baissant légèrement les yeux pour apercevoir la demoiselle qui se trouvait la. A première vue, et pour une personne comme les autres, c’était une enfant. Mais je devinai dans son regard une maturité certaine, il me semblait que j'avais à faire a une adulte, sans doute même plus âgées que moi. C'est en souriant lentement, que je m'approcher de quelques pas, sans la perdre du regard un instant.

Bonjour, je me présente, Docteur Jintan Yuzuruh, psychologue de ce pensionnat.

Je me stoppai alors non loin d'elle, gardant on fin sourire habituelle, à la regardée de plus prés, je confirmais mon doute, elle était bel et bien une adulte et je n'allais aucunement lui manqué de respect.

Je suis enchanté de vous rencontrez, vous êtes professeur ? Ou bien médecin ? A moins que ne soyez bibliothécaire ?

Une étrange impression m'affirmait que j'avais en face de moi l'infirmière dont le jeune homme m'avait parler dans le jardin, Célia devait être son prénom... Je jetai alors un vif coup d’œil dans son sachet, pour y apercevoir des bières. Cela me fit sourire lentement...

Oh,vous avez du avoir une rude journée, ce pensionnat ne laisse à son personnel aucune minute de répit, n'est ce pas ?

Je me tournai alors, dos a elle, pour relever la tête vers le ciel lentement, contemplant son immensité d'un sourire.

Heureusement que le temps lui nous offre ce genre de cadeau, nous pouvons ainsi souffler, et éviter de devenir autre que ce que nous sommes au fond.

Célia trouva qu’il la dévisageait de manière impolie et lui renvoya un regard noir. Il se comportait un peu comme un télépathe mais à force de vivre entourée par la magie elle avait apprit à contré ce genre d’intrusion et à renvoyer dans leur propre tête les petits fouineurs d’un bon coup de pied mentale. Sa barrière était solide et même si, par hasard, ils étaient assez doués pour la passer elle en serait au moins prévenu. En tout cas ce type ne semblait pas essayer de rentrer dans son esprit.
« - Bonjour, je me présente, Docteur Jintan Yuzuruh, psychologue de ce pensionnat. »
Psychologue, c’est aussi une autre manière de tenter de rentrer dans la tête des gents. Mais au moins il ne la prenait pas pour une élève, ce qui arrivait malheureusement trop souvent à son gout. Mais fait dire avec sa petite taille et son visage qui faisait vraiment jeune c’est presque comme si elle cherchait à le faire exprès.
« - Heureusement que le temps lui nous offre ce genre de cadeau, nous pouvons ainsi souffler, et éviter de devenir autre que ce que nous sommes au fond. »
Célia jeta un rapide coup d’œil vers le ciel où, météo du jour : quelques rare nuages filaient avec empressement sur la toile tissé de bleu. Pâles derrière eux les couleurs allaient en s’obscurcissant et, sous leurs yeux, seules les nuées apportaient une teinte chaleureuse aux imprécis reflets rose-orangés. Mais Célia était trop fatiguée pour se lancer dans de la poésie, elle se contenta donc de répondre aux questions du docteur Yuzuruh.
« - Je suis effectivement médecin. »
Bien qu’elle se présente toujours comme étant l’infirmière elle avait effectivement passée son doctorat en médecine. En faite il n’existant pas de poste de médecin au pensionnat mais en même temps une personne avec un moins bon niveau d’étude ou de connaissance ne s’en sortirait pas à ce poste.
« - Je suis Célia Somey et effectivement la journée à été agitée. »

« - Je suis effectivement médecin. »

Je souriais alors, elle devait tenir a ce pensionnat, elle qui malgré son statut était infirmière. Peut être avait un passé ici, a Black rose.

« - Je suis Célia Somey et effectivement la journée à été agitée. »

Ces élèves devaient surement lui imposée un travail draconien, rien qu'a connaitre leur esprit, on imaginait ce qu'ils étaient capable de faire.

Vus considérez vous comme une simple infirmière ? Je veux dire, ce pensionnat n'est pas commun, alors votre statut ne devrait pas l'être. N'est ce pas ?

Je souris alors finement, je comprenais un peu plus les réactions du jeune Kiyo, je ne pus m’empêcher de le revoir alors que je lui parler d'elle, ce qui ne manqua pas de m'amuser.

Je penses devoir vous annoncer que je ne suis aucunement en train de vouloir vous analyser l'esprit, mon don fait en sorte que je devine certaines choses d'une simple observation, mais mon travail m'humanise, donc il n'y aucunement à vous en faire, je vous l'assure. Je ne suis pas un ennemi.

En effet, cela était courant, le gens arrive a penser que je veux les connaitre entièrement, alors que cela se faisait malgré moi, je n'ai jamais eu l'intention de sonder une personne ne le souhaitant pas.

Qu'auriez vous à m'apprendre sur ce pensionnat ? Je me permet de lancer la conversation à la vue de e qu'il y a dans votre sac, il me semble que vous n'ayez aucunement l'envie de vous prendre le chou. Alors détendons nous,si je ne vous gènes pas de trop bien sur.

Je lui sourit a nouveau, en effet , je n'avais aucunement l'intention de me perturber l'esprit, car moi aussi, j'avais eu une rude journée.

Sa façon de dire "simple infirmière" sonnait un peu comme une insulte, une preuve d’arrogance et Célia fronça légèrement les sourcils à sa première question, mais elle comprit tout de suite après que ce n’était pas le cas. Il dû se méprendre sur sa réaction car il enchaina en se justifiant sur le faite qu’il ne cherchait pas spécialement à entrer dans sa tête. Célia sourit légèrement.
« - Vous ne me gêner pas. »
Elle s’avança ver le jeune homme et le dépassa pour atteindre le bord du toit. Elle posa son sac à terre et en sortit deux bières.
« - Attrapez. » Dit-elle en lançant une des canettes.
Elle s’assit en équilibre sur la barrière et bu une gorgée de sa boisson.
« - La première chose que je peux vous dire sur ce pensionna c’est que, comme vous l’avez comprit, rien n’est simple ici. Il est évident que je ne me contente pas de donner de temps à autre une aspirine à un élève. Infirmière ou médecin peut importe. Ce n’est qu’un titre. »
Elle eut un léger sourire.
« - Quoiqu’être de temps à autre reconnue comme médecin est apprécié par mon égo. Mais dites-moi ce que vous voulez savoir et je verrais si je peux vous répondre. »

« - Vous ne me gêner pas. »

Cela me rassura, je n'aimais aucunement me faire des ennemis. Bien qu'au final je ne voyait pas vraiment en quoi je pourrais la gênée, mais bon, c'était très bien ainsi.

« - Attrapez. » Me dit-elle en me lançant une bière.

Je l'attrapais alors d'un simple et vif geste du bras droit. Hop ! Merci à vous.

Elle s'assit alors, pour boire doucement, alors que je décidai de la rejoindre, m'asseyant à sa droite.

« - La première chose que je peux vous dire sur ce pensionna c’est que, comme vous l’avez comprit, rien n’est simple ici. Il est évident que je ne me contente pas de donner de temps à autre une aspirine à un élève. Infirmière ou médecin peut importe. Ce n’est qu’un titre. »

En effet, je comprenais son point de vue, elle était bien plus qu'une infirmière, dans ce pensionnat, elle était tout un hôpital à elle seule. Cela me fit la regardée d'un fin sourire, quand on la voyait comme cela, toute petite, on imaginait pas du tout qu'un tel poids pouvait peser sur elle...

« - Quoi qu’être de temps à autre reconnue comme médecin est apprécié par mon égo. Mais dites-moi ce que vous voulez savoir et je verrais si je peux vous répondre. »

Vous êtes une humaine malgré votre pouvoir, avec tout ce que vous faites, il est normal que vous ayez un certain besoin de reconnaissance. Et ne vous en faites pas, tout bien réfléchit, j'apprendrais sur le tas.

Elle m’inspirait un profond et sincère respect je devais l'avouer. Je souris alors grandement de nouveau, en tendant ma canette vers elle vivement.

Trinquons ! Célia, en toute franchise, je penses que vous méritez bien plus que quiconque ici le titre de médecin. J'ai beau eu avoir quatre doctorats, je ne tiens pas la route face a votre combat contre les conséquences des pouvoirs des élèves. Je ne fais que rassuré ces chers petits, les recentrés sur leur humanité malgré leurs différences, tout en évitant au quotidien les groupe jeunes demoiselles qui ne souhaite que m'avoir pour elle seule... Quel pitrerie.

Je dis cela d'un ton ironique bien sur, mais je me sentais a l'aise assit a coté d'elle face au ciel et au jardin.

« - Vous êtes une humaine malgré votre pouvoir … »
Étant donné que Célia était née de deux parents humains évidement qu’elle l’était mais ce n’était pas le cas de tout les pensionnaires.
« - Et ne vous en faites pas, tout bien réfléchit, j'apprendrais sur le tas. » Se ravisa le docteur Yuzuruh.
« - Comme vous voulez. Mais si a l’avenir il y a une chose que vous souhaitez savoir demandez-moi. »
Après tout elle n’était seulement infirmière à Black Rose depuis un moment déjà elle y avait aussi passé beaucoup de temps comme élève.
« - Trinquons ! »
Célia trinqua volontiers et bu quelques gorgés en l’écoutant parler. Elle avait dit que son égo appréciait les flatteries et même si c’était vrai, après tout personne ne peut détester les compliments, elle avait plutôt dit ça comme une plaisanterie, cependant le docteur Yuzuruh l’avait prit au mot, c’était plutôt mignon de sa part. L’infirmière se dit que même si il avait dit ne pas vouloir lui parler en temps que psychologue il ne pouvait pas s’empêcher de tenter de la rassurer et de la faire reprendre confiance en elle ou toute autre chose dons devait avoir besoin ses patients. Ce n’était sans doute pas évident de se détacher de sa profession.
« -… tout en évitant au quotidien les groupe jeunes demoiselles qui ne souhaite que m'avoir pour elle seule... Quelle pitrerie. »
La réplique fit rire et elle répondit sur le même ton.
« - Cela doit être particulièrement dure pour vous. Si vous voulez échapper à vos groupies n’hésitez pas à venir vous réfugier à l’infirmerie. Je suis sûre de pouvoir vous cacher sous un lit ou dans le frigo à vaccins. »

« - Cela doit être particulièrement dure pour vous. Si vous voulez échapper à vos groupies n’hésitez pas à venir vous réfugier à l’infirmerie. Je suis sûre de pouvoir vous cacher sous un lit ou dans le frigo à vaccins. »

Il sourit alors doucement, buvant quelques gorgée de sa première bière en canette, en observant la terre et le ciel, il pensa a une chose qui l'avait marqué a l'époque de sa découverte du monde.

Il y a plus sur la terre et dans le ciel, mon cher Horatio, qu'il n'en est rêvé dans votre philosophie.

Cette phrase le fit de nouveau sourire, décidément, Hamlet avait profondément marqué ça vie. Il avait en effet calqué la plupart des facettes du prince lors de ça création de personnalité. C'était une chose qui le rendrai heureux, il aimait tellement ces monologues et ces répliques, qu'il ne pouvait s’empêcher de l'admirer malgré ces quelques defaults... C'est alors qu'il leva à nouveau lentement la main gauche grande ouverte en fixant le ciel à travers celle ci.

Célia, que pensez vous du monde et de notre époque actuel, d'un point de vue humain, quel est votre vision des choses ?

Il parlait alors en tant que simple humain intellectuel, qui, buvant une bière, se permettait de demander l'avis de ça camarade de boisson sur les choses qui le passionné. Bien sur, il comptait bien devoir répondre à la prochaine question de la jeune femme en échange, qu'elle soit elle.

Cette question aurait sans doute mérité une longue période de réflexion.
« - Je ne suis pas très portée sur les long discours philosophique. »
Après tout cela était plus proche de son domaine à lui.
« - Mais j’imagine que comme toute les époques elle à ses défauts et ses qualités. »
Sérieusement ce n’était pas vraiment le genre de question à la quelle elle voulait répondre.
« - Je pense que si même ceux qui comme nous qui sont souvent rejette par les personnes sans pouvoir peuvent encore y trouver une place ce monde est assez bien pour qu’on y vive. »
Elle soupira. Il n’y avait pas grand-chose d’autre qu’elle pouvait en dire.
« - La vraie question, docteur Yuzuruh, c’est qu’es-ce que vous, vous en pensez ? »

« - Je ne suis pas très portée sur les long discours philosophique. »

Je n'en avais pas demander, je ne désirais qu'un avis, le sien.

« - Mais j’imagine que comme toute les époques elle à ses défauts et ses qualités. »

Voila une déclaration des plus neutre, aucun avis en somme...

« - Je pense que si même ceux qui comme nous qui sont souvent rejette par les personnes sans pouvoir peuvent encore y trouver une place ce monde est assez bien pour qu’on y vive. »

Comment cela comme nous ? Se croyait elle, inférieure à l'humanité basique ? Qu'elle penses cela me fit sourire lentement, à chacun son point de vue et puis, elle ne
s'attristait pas de cela, bien que ce soit a mes yeux complétement erroné .

« - La vraie question, docteur Yuzuruh, c’est qu’es-ce que vous, vous en pensez ? »

Je sourit alors un peu plus, levant, à nouveau, la main droite grand ouverte vers le ciel, afin d'observer la chevaliére qui entourée son index et le ciel derrière celle ci.

Connaissez vous Hamlet, de Shakespeare très chère Celia, ou bien la tempête, du même auteur?

Mon sourire était, comme a chaque fois que j'y pensés, apaiser et joyeux. J'aimais vraiment énormément ces œuvres. Une fatalité des plus sympathique en somme.

Célia observa le docteur Yuzuruh. Il comptait lui répondre en reprenant les propos d'un livre? Même ceux d'un des auteurs les plus connus au monde ne pouvaient que lui servir à éviter la question.
« - Évidement. »
Elle haussa les épaules. Black Rose apprenait à ses élèves à contrôler leurs pouvoirs mais le but était tout de même qu'ils finissent par réintégrer la société humaine. Ceux qu'ils fessaient d'ailleurs pour la plus part.
« - Vous savez j'ai passé le bac d'anglais comme tout le monde. »
Ce n'était donc pas parsqu'elle avait passé sa scolarité ici qu'elle n'avait pas eut ou moins eut que des élèves humains des matières ennuyeuses comme les mathématiques, la philosophie et l'anglais. En vérité les élèves de Black Rose avaient même plus d'heures de cours que dans les écoles normales car ils avaient également ceux de maitrise de pouvoir et de combat. Les professeurs y étaient tout aussi barbants et Shakespeare était quand même un grand classique des cours d'anglais.
« - Où voulez-vous en venir ? »