Un dernier verre pour la route ?

La bibliothèque était déserte. Aujourd'hui les élèves n'avaient apparemment pas eu la brillante idée de venir lire un livre en cette joyeuse journée ensoleillée. Je m'ennuyais un peu, mais je m'étais trop absenté de mon lieu de travail en ce moment pour me permettre de sortir. J'aurais toute la nuit. Puis j'étais trop préoccupé. Par ma relation avec Yuki... C'était vraiment trop bizarre... Je n'avais pas vraiment le moral en ce moment, et ça faisait longtemps que je n'avais pas pris un petit verre. Je n'étais pas un gros buveur, mais je tenais très bien l'alcool, et je m'arrêtais toujours - ou presque - avant d'être bourré. Je devenais un gros lourdaud dans ces cas-là. Mais j'aimais l'alcool, et c'était un bon réconfortant des fois. Je me dirigeai donc vers mon bureau et ouvris doucement le dernier tiroir, un gros et large qui avait une serrure. A l'intérieur, la place était disputée par un gros bocal rempli de bonbons multicolores et une coupe à cocktail pour y mettre des sucreries et par deux verres et quelques bouteilles d'alcool : un bon Whisky, le Ladybank Single Malt, que j'avais volé à un membre d'un club très sélect - je ne l'avais pas encore ouvert, je préférais le garder pour quand j'en ressentirais le besoin. Deux bouteilles de vodka pas très chère, et un pack de bière coincé dans le fond du tiroir. Je n'avais pas le courage de sortir le Whisky, la vodka ne me tentait pas aujourd'hui. Je posai mon bocal et la coupe sur mon bureau, puis une petite bouteille de bière. Sélectionnant une trentaine de bonbons, je les sortis et les disposai dans ma coupe, avant de ranger le bocal et d'ouvrir ma bière. Je pris une gorgée de ma bière et gobai un chamallow, testant le goût de mon mélange. Je hochai la tête, satisfait. Me dirigeant vers le fond de la bibliothèque, j'allai m'installai dans un des canapés en cuir blanc du coin détente. C'était bon de se détendre comme ça parfois. J'avais trop tendance à me dépenser jusqu'à ne plus avoir de souffle pour me calmer, et j'oubliais parfois que se poser tranquillement pour réfléchir était assez relaxant également. Posant ma coupe et ma bouteille sur la table basse devant moi, je m'allongeai et posai un bras sur mes yeux pour filtrer la lumière.

Je me réveillai un peu brusquement. J'avais juste somnolé quelques minutes, à la lisière entre le réel et le rêve. Une porte qui s'ouvre et des bruits feutrés se faisaient entendre et m'avaient tirés de ma transe. J'avais l'ouïe très fine grâce à mon entrainement. Le nouveau venu devait être une de ces personnes qui aimaient les livres, et respectaient leur sommeil et leur logis. Je me redressai sur le canapé sans un bruit, pris ma coupe et ma bouteille et commençai à traverser les étagères et les livres en direction du bruit. Les bruits de pas s'étaient arrêtés. Je pensai tout à coup que me montrer de l'alcool à la main sur mon lieu de travail risquait de me poser problème, mais à tous les coups, je risquais d'oublier ma bière sur l'étagère où je la poserais, et n'importe qui pourrait la trouver. Je la gardai donc en main, la cachant rapidement quelque part au cas où la personne présente risque de me poser problème. J'aperçus la nouvelle venue. J'en restai légèrement bouche-bée. Ce n'était pas le genre de personne que l'on s'attendait à voir dans une bibliothèque entrain de feuilleter un livre. Et pourtant, c'était bien une superbe rousse qui aurait été plus à sa place autour d'une barre de gogo danseuse qu'un livre à la main, qui observait un livre. Elle grimaça et le reposa à sa place. Son geste attira mon regard. Wouah !! Cette fille, en plus d'avoir un visage et une crinière magnifique, et bien... Elle était... Équipée ! Ses seins avaient de quoi me faire oublier Yuki, mon travail et mon nom. Mon dieu. Je restai à les fixai pendant un bon moment, bonbons et bière en mains. Puis je me secouai et me raclai la gorge après avoir repris une expression normale. Je ne pensais pas que cette fille allait me poser problème avec l'alcool, elle n'avait pas l'air de quelqu'un de strict. Et je ne disais pas ça à cause de ses... Engins. J'étais vraiment excité rien qu'à la regarder, surtout que depuis que j'étais arrivé au pensionnat, je n'avais pas encore eu l'occasion de faire passer le temps de cette manière. Autant dire que le besoin se faisait pressant. Et ce beau morceau qui se trémoussait sous mes yeux n'était pas là pour m'aider. Je m'approchai d'elle en mangeant un réglisse, me concentrant sur ses beaux yeux bleus pour que mon regard ne dérive pas plus bas.

- Vous cherchez quelque chose, mademoiselle ?

Je me plaçai à côté d'elle, un peu en retrait, regardant l'étagère devant laquelle elle se trouver? C'était des biographies et des encyclopédies historiques. C'était une partie de la bibliothèque que mon prédécesseur avait lui-même instauré, et je me gardais bien de la fournir plus qu'il ne le fallait, me contentant de savoir ce qu'elle contenait.

- Un livre de référence peut-être ? Vous avez un devoir à rendre.

Je faisais tout pour ne pas regarder ses deux... On pouvait littéralement les appeler des obus. Mais j'étais vraiment en manque en ce moment avec ce satané Yuki qui avait joué avec mes nerfs. Je serrai un peu plus fort ma bière, faisant blanchir les jointures de mes doigts, puis répartis mon poids d'un pied sur l'autre en gobant un crocodile d'un coup. Il fallait que je m'abstienne... Ce soir j'irais dans les quartiers chauds de la ville d'à côté pour me soulager. Mais pour l'instant je bridais la bête en rut qui s'agitait, l'intimant au silence. Elle pourrait se lâcher ce soir. Autant de fois qu'elle le voulait. Mais à cause de Yuki, je préférais éviter de faire ça au pensionnat. Je ne savais pas comment il réagirait si il l'apprenait, mais je ne préférais pas l'imaginer.

To be continued ...

La jeune demoiselle me regarda droit dans les yeux. Je me rendis compte en la voyant de face qu'elle paraissait un peu plus âgée que ce que j'avais diagnostiqué au départ. En même temps, ça aurait fait encore plus vulgaire que ça ne l'était déjà si c'était une jeune fille qui possédait ce corps. Tout à coup, mon interlocutrice éclata de rire sans prévenir. Mon regard loucha directement sur sa poitrine qui rebondissait à chacun de ses tremblements, alors qu'elle s'appuyait à une étagère pour reprendre son souffle. Je me léchai les lèvres inconsciemment, sentant mon regard - et autre chose - commencer à brûler de l'intérieur. Elle me sourit. De ses très délicieuses lèvres...

-Excusez moi, c'est juste que j'ai trouvé vos questions vraiment comique... Je ne suis pas une élève et sérieusement... Vous pensez vraiment que je suis du genre à lire ? D'ailleurs je ne sais même pas où je suis, je veux dire, dans quel rayon je me trouve.

Je ne le pensais pas le moins du monde, non. Surtout quand elle parlait d'une voix aussi... Chaude. Je haussai les épaules en m'admonestant intérieurement. "Mais calmes-toi bordel ! T'excites pas sur des gros seins comme ça juste parce que tu t'es pas soulagé depuis 3 semaines sérieusement ! Tu veux qu'on se chope la honte ?". La superbe rousse jeta un coup d’œil à ma bouteille de bière, et j'arrêtai mon mouvement pour boire. J'avais la gorge un peu sèche mais... Tant pis. La jeune femme s'approcha de moi et plongea sa main dans le verre que je tenais, y prenant un chamallow.

-En ce qui concerne ce que je cherche... Disons que je cherche un peu de compagnie...

Elle mordit dans sa friandise. Comme je mordrais bientôt ses lèvres, avant de m'attaquer à tout son corps... En plus de ses paroles pour le moins ambiguës, elle me regardait d'un air coquin. Aucun doute, que c'était une invitation à peine voilée juste pour la forme. Une partie de moi - Immense ! - me voyais déjà dévorer cette femme avant de n'en laisser qu'un corps haletant et vide, sans aucun désir autre que sexuel. Cette partie de moi voulait absolument jouer avec ce corps magnifique et n'y laisser aucune miette. Mais une petite partie de ma conscience m'en empêchait, plaidant le fait qu'une aventure avec quelqu'un du pensionnat ne m'apporterait que des emmerdes. Et que, les filles étant trop bavardes ou se vengeant facilement, une rumeur ne pourrait s'empêcher de voleter jusqu'à des oreilles redoutées. Comme ces petites oreilles toutes douces et tellement sensibles que Yuki possédait et qui, rien quand les frôlant, réagissait superbement. D'y penser n'arrangea en rien les choses, au contraire. Tant pis pour la politesse et la bien-séance. Je pris trois gorgées de ma bière avant de me lécher les lèvres comme un gros chat, puis me repris.

- Et bien... Ce n'est pas vraiment l'endroit rêvé pour faire de nouvelles rencontres, mais chacun sa façon de voir les choses... Enfin ! Si vous voulez que je vous tienne compagnie, pourquoi pas.

Je contournai une des étagère au lieu de la traverser pour que la nouvelle arrivante puisse suivre le mouvement. Je tendis un bras vers l'espace détente, largement visible d'ici. Je souris gentiment mais sans - je l'espérais - arrière-pensée, me camouflant sous un masque professionnel.

- Je suis Floyd West, le bibliothécaire. Même si je suppose que vous l'avez déjà deviné. Allez vous asseoir là-bas si vous voulez. Je la regardai discrètement de haut en bas avant de reprendre. Vous voulez boire quelque chose ? Ou grignoter ? J'ai de la vodka et de la bière si vous voulez. Et des bonbons.

Je n'évoquai pas mon whisky. On ouvrait pas une bouteille pour ça. Et puis j'espérais bien ne pas trop m'éterniser avec cette fille, sinon je risquais de faire une connerie. La bête en rut qui sommeillait en moi me sommait de ne pas faire dans le remord et de me faire plaisir. Oh oui. J'allais me faire plaisir. Pas ici, pas avec elle. En ville oui. J'espérais juste trouver la jumelle de cette fille quelque part pour me soulager. Parce qu'après avoir vu ça, je ne pourrais même pas bander avec une fille normale. Et même si un gars ferait très bien l'affaire, les gays n'étaient pas nombreux dans la ville, et je n'avais pas envie de jouer à cache-cache.

To be continued ...

La jeune femme alla s'asseoir nonchalamment dans un fauteuil, s'y affalant presque. J'observai doucement sa belle silhouette, sa taille fine, sa poitrine, ses jambes magnifiques... Je recommençais !

-De la vodka ! C'est parfait mon chou ! Et j'accepte les bonbons aussi.

Je me retins de grogner, indigné qu'elle ose m'appeler comme ça. C'était un peu la douche froide. D'habitude les femmes étaient plus dociles... Je soupirai et traversai la bibliothèque en ligne droite lentement, avant de revenir avec le bocal entier de bonbons, une bouteille de vodka et un verre. J'ouvris la bouteille et lui servis un verre avant de le pousser vers elle, laissant les bonbons au centre de la table. Puis je posai ma bière sur l'accoudoir de mon fauteuil et m'allumai une cigarette, tirant un coup tout en rapprochant le cendrier de moi. Je ne fis pas la politesse de demander à cette fille si ça la dérangeait ou si elle en voulait une. Son "mon chou" m'avait passablement énervé. Elle s'étira langoureusement, comme un chat, attirant de nouveau mes yeux sur sa silhouette. Certes, elle était un peu chiante. Mais mon dieu ce qu'elle avait l'air bonne.

-Je suis heureuse d'être tombée sur quelqu'un de cool... Parce que franchement, la plupart des employés ici sont vraiment coincé... Je déteste les règles vous savez Monsieur West, ce n'est pas drôle du tout...

Je hochai la tête sans répondre. Hum... C'était peut-être pour ça que cette fille m'énervait. Elle était comme moi. Séductrice, indépendante, rebelle, libre. Les seules différences étaient peut-être dans notre sexe, ou dans notre manière d'aborder les gens. Certes, j'étais un charmeur et un beau parleur, mais je n'abordais les gens qu'en cas d'extrême occasion. Non seulement car je n'avais pas vraiment de "coup de cœur" mais aussi car la plupart du temps c'était les autres qui venaient à moi. J'avais alors juste à faire mon choix. Cette coquine me jeta tout à coup un regard plus qu’ambiguë, secouant sa crinière. Elle me mata ostensiblement des pieds à la tête. J'imaginais déjà ses mains me caresser comme le faisaient ses yeux. Je me mordis la lèvre, retenant un feulement un peu trop sauvage. Mon dieu, j'allais bientôt craquer. Surtout qu'elle ne se retenait pas. Je la regardai sous tous les angles à mon tour, profitant à fond de ce que je voyais. Puis, tapotant ma clope pour faire tomber quelques cendres dans le cendrier, je me penchai en avant pour l'observer d'un peu plus prêt encore, un sourire taquin aux lèvres. La tension sexuelle qui montait faisait se dresser mes poils. Et bientôt autre chose... J'attrapai un chamallow et l'avalai tout en fixant la jeune femme du regard. Je ne la lâchais pas, plongeant dans ses jolies yeux aigue-marine. Puis je clignai des yeux et bu un coup, rompant le contact à temps. Un peu plus et je lui sautais dessus. Je jouai un peu avec ma bouteille de bière, soufflant dedans pour produire un son musical, puis pris la parole.

- Alors... Vous ne m'avez toujours pas dis qui vous étiez, mademoiselle "je cherche de la compagnie". Puis-je le savoir ou est-ce une information secrète ? Je tirai un peu sur ma clope. Et vous pouvez m'appeler Floyd si vous voulez.

Je lui avais servi cette voix grave et envoutante dont j'avais le secret. Ma conscience m'avait abandonné. Au diable ce maudit Yuki et ces bonnes résolutions. J'allais passer du bon temps avec cette magnifique créature, et si quelqu'un voulait nous surprendre, grand bien lui fasse. Il aurait qu'à se rincer l’œil. Je la regardai avec un peu d'insistance, ne me gênant pas pour plonger mes yeux dans son décolleté. Et j'espérais bientôt les y plonger littéralement.

To be continued ...

Elle paressait amusée par mes coups d’œil, croisant jambes, apparemment à l'aise.

-Je suis Morigane De Rivaldi, et je pense qu'on peut se tutoyer maintenant... J'étais surveillante jusqu'à maintenant mais, je vais partir du pensionnat et vivre en ville. Alors Floyd, la vue te plait j'espère ?

Elle avait remué ses attributs devant moi. Je haussai légèrement un sourcil, amusé et excité. Je trouvais ça un peu trop vulgaire, mais pourquoi pas de temps en temps... Bien sûr, voir une nana secouer ses miches 24h/24 était un peu énervant à la longue, mais se faire aguicher comme ça de temps en temps... C'était agréable. Je m'avançai légèrement, me redressant sur mon siège. Morigane se pencha en avant, me laissant apercevoir un panorama magnifique. Se jouant de moi, elle bu goulument son verre avant de se lécher sensuellement les lèvres. Je m'apprêtais à l'aider à essuyer ces jolis petites roses, mais elle fit le premier pas. Posant ses deux mains sur la table basse, elle se rapprocha graduellement de moi, et ses seins aussi par la même occasion. Mais j'étais plus concentré sur ses yeux qui me fixaient. Juste légèrement plus.

-J'ai cru déceler une légère froideur tout à l'heure ? T'aurais-je offensé... ? Si c'est la cas, tu m'en vois désolée... Mais je suis sure que je peux me faire pardonner... D'une manière ou d'une autre...

Sa voix baissait d'un ton à chaque fois, en même temps qu'elle parlait plus doucement, rendant sa voix plus grave et sensuelle. Puis elle goûta ma peau, grimpant littéralement sur moi. Je sentis ses petites mains s'appuyer sur mes épaules alors qu'elle gesticulait sur moi. Alors qu'elle me taquinait le cou, j'attrapai sa taille fine fermement et installai Morigane plus prêt de moi, ses seins contre mon torse et ses cuisses autour des miennes. Je pris son menton entre mes doigts et lui léchai les lèvres, y sentant un petit arrière-goût de vodka. Puis je l'embrassai profondément, introduisant ma langue pour caresser la sienne. Pendant ce temps là, mes mains s'étaient glissées le long de son corps, soulignant sa taille, ses hanches, caressant langoureusement ses fesses. Je m'écartai de son visage.

- Et bien, Morigane... Ce n'était vraiment rien d'important, mais si tu te fais pardonner comme ça à chaque fois... C'est intéressant.

J'avais prononcé ces mots d'une voix grave, un ronronnement dans la voix. Mes mains glissèrent sur ses cuisses, les doigts en chatouillant l'intérieur. Excité, je grognai en mordant la clavicule de la jeune femme. Yuki pouvait bien aller au diable, j'allais me faire cette fille tout de suite et ici-même. Je fis glisser mon nez dans son cou, avant de déposer des baisers sur sa peau, y traçant un chemin vers sa poitrine.

To be continued ...

Je sentais Morigane frissonner contre moi alors que je caressais un de ses seins de ma bouche et de ma langue. Je sentis une de ses mains remonter sur ma nuque et parcourir mes cheveux de ses doigts fins. Je fermai les yeux, appréciant la caresse, avant de relever les yeux pour l'observer. Elle avait les yeux fermés, les joues rougies, la respiration courte. Je souris contre sa peau. Quelle réaction parfaite.

- Disons que... Je n'ai pas pour habitude d'essayer de me faire pardonner...

Alors c'est qu'elle devait vraiment vouloir de moi. J'allais exaucer son souhait avec ravissement. Je sentis son autre main se diriger vers ma chemise et la laissai ouvrir ma chemise, occupé avec sa poitrine. Ses mains fraîches se posèrent sur ma peau nue et je frissonnai doucement. Je caressai une dernière fois sa poitrine. Puis elle s'empara de mon visage et l'écarta d'elle. Je la regardai faire. Elle se mit à parcourir mon torse de baisers en gémissant. Je ronronnai presque, les doigts dans ses cheveux. Je les agrippai plus fermement quand elle planta ses griffes dans ma chair et grognai, un peu sauvage. J'allais lui rendre ce geste plus tard. Mais pas maintenant. Je sentais ses doigts glisser sournoisement vers mon entre-jambes et souris avec hâte. Elle dégrafa mon pantalon et caressa ma virilité. Je fus parcouru d'un grand frisson, alors qu'elle s'attaquait également à mon cou, le taquinant de ses petites dents. Je grognai encore, sauvagement, puis glissai mes mains sous ses cuisses pour la soulever. Je me levai d'un coup et la portai jusqu'au canapé avant de l'y jeter. Je grimpai au dessus d'elle, à quatre pattes, l'emprisonnant entre mes bras et mes jambes. J'attrapai une poignet de ses cheveux, appréciant leur douceur en y glissant mes doigts, puis je les agrippai fermement et lui relevai la tête jusqu'à moi pour l'embrasser sauvagement, lui léchant les lèvres avant de pénétrer sa bouche de ma langue. Je tirai ses cheveux en arrière pour l'écarter. Puis je lui enlevai son haut comme elle l'avait fait pour moi et fis glisser mes doigts, frôlant sa peau de son cou à ses hanches, y traçant un chemin brûlant.

- Tu as la peau très douce...

Je souris en plongeant mon visage entre ses seins charnues, goûtant sa peau sur ma langue. J'aimais les deux sexes, mais si les femmes avaient bien un avantage, c'était leur poitrine douce et chaude qui ne vous demandait qu'à plonger le visage dedans. Et cette femme était particulièrement bien équipée. C'était accueillant. Je respirai profondément sa peau, glissant mes doigts sous sa jupe pour lui caresser son intimité, la taquinant de mes doigts.

To be continued ...