Fait moi boire... Je te parlerai...[suite][NC-16]

-On dirai bien que tu viens de te faire kidnapper... Tu veux peut être appeler ton popa pour qu'il vienne te sauver ? 


Mon papa ? Il ne viendrait surement pas même si j'étais en train de mourir. Je lui souriais lentement, alors qu'elle me poussa avec violence sur le canapé, elle s'installa ensuite sur moi pour m'embrasser avec passion... Devais-je la laissée faire ? J'en avais l'envie, Mais... C'était mal, Que devais-je faire ?

-A quoi es tu prêts exactement pour rester près de moi ? Serais-tu capable d'accepter une condition de simple objet dont j'ignorai les sentiments ? Est ce genre de relation dont tu veux te nourrir pour grandir ? Es tu un idiot à ce point ?


Je ravalais ma salive... En étais je capable? N’être qu'un objet, ne plus être moi ? Qu'elle farce, comment osait elle ? Je lui avait ouvert mon cœur sans hésitation et voila ma récompense ? Elle m'insultait de la sorte. Je voulais lui en vouloir, je voulais m'énerver. Mais je l'aimais, elle étais saoule et me désirer et moi, j’étais désespérément amoureux d'elle. Je ne pouvais rien faire face à cela... Je léchai doucement mes lèvres pour sourire finement, elle voulait me tester ? Bien.

Tu me dis cela, toi qui te jette sur moi sans hésitation, complètement saoule, qui fait office d'objet ce soir ? Moi je t'aime, tout simplement, si tu n'es pas capable de le faire en retour, qu'il en soit ainsi, je serais ce que tu voudra que je sois, mais dans ce cas, je suis convaincue qu'aucun de nous ne grandira comme il faut, ose dire le contraire, Mademoiselle je ne sais pas ce que veut mon cœur alors je me contente de fuir pour boire.


Je serrer les dents En posant mes mains sur ces épaules pour la gardée sur moi, approchant ensuite lentement mon visage du sien, encrant pour finir mon regard dans ses yeux, en guise de défi, j'étais sure de moi, je l'aimais ! Point a la ligne, pourquoi devrais je la laissée me maltraiter ? Non ! J'allais lui tenir tête, avec l'aide ma nouvelle sincérité, j'allais lui montrer a quel point mon amour pour elle était sincère et pure. Entre mes sentiments en béton et mon cœur enflammé, je me demandais si elle était capable de me faire flancher. Pas en continuant de jouer en tout cas.

Elle me mordit la gorge brutalement, alors que je m'accrochais au canapé fermement en grimaçant, cela me fit frémir complètement, alors que je lui souriais ensuite malicieusement, elle était vraiment énervée, mais elle l'avait bien mérité.


-Petit con... Soit mon beau et je ne me jetterai pas sur toi... Et ose encore une fois dire que je fuie et tu connaîtras les pires tortures qui puissent exister... 


Les pires hein ? C'était tentant de l'y pousser, alors qu'elle passait sa langue le long de ma gorge en remontant jusqu’à mon oreille, alors que je retenus un rire du a son contacte. Je le regardais toujours silencieux, je ne voulais me retenir, je voulais me jeter sur elle pour la dévorée entièrement, mais, en avais-je tout simplement le droit ?

 "Combien de temps penses-tu tenir et me résister Jiyu ?... Allez ! Vas y ! Déchaîne toi... Tu disais que tu n'étais toi même qu'avec moi, que tu n'étais pas gentil ni doux... Alors prouve le... Je veux le voir..."


Je ne pus m’empêcher de rire de nouveau, ne bougeant pas d'un pouce, elle voulait donc jouer avec moi de la sorte, me pousser dans mes retranchement pour ensuite m repousser, mais avait-elle prévue que si je perdais le contrôle, rien ne pourrait m’arrêter... Je passai ma main droite le long de sa joue, approchant mon visage de son oreille d'un sourire malicieux en chuchotant.

Tu es des plus tentantes je te l'avoue, mais cois tu que cela soit aussi facile, continue comme ça, et tu finiras mienne sans t'en être rendue compte... N'as tu pas peur que cela arrive ? Ou fais tu tout cela dans cet unique but ? Je connais la moindre de tes pensées, alors bien entendu  je connais déjà la réponse, Mademoiselle la vile manipulatrice...


Je revenais vers ses lèvres pour les embrassées, de manière tendre et joueuses, lui les mordillant délicatement, pour ensuite les enveloppé des miennes et les palper de celle ci passionnément. Si elle voulait jouer, elle avait trouver son partenaire...

-Je ne sais pas ! Tu sembles tout savoir de moi en si peu de temps ! Alors vas y ! Dis moi dans quel but je fais tout cela ? 


Je me plaçais confortablement sur le canapé sans un mot, je n'allait surement pas répondre, je ne voulais pas lui manquer plus de respect et creuser mon trou. Je l'observais un instant, et la, peu a peu, ses pensées commençaient à me faire trembler, je ne savais pas pourquoi, mais je fermer les yeux, je me sentais si mal, c'était comme ci, mon cœur se fissurer, qu'il allait bientôt exploser... Pendant un instant, certain mots clé me possédaient l'esprit complètement.


~~L'amour, la douleur, le frapper, il n'avait pas le droit, le droit... Colère, effrayée, Jiyu, Punition... Pourquoi ? Comment ?~~


Je ravalais lentement ma salive le regard vide, que, que m'arrivait il ? A cet instant précis je voulais, juste disparaître à nouveau,tout ce temps, cela avait était mon seul désir, être remplacer par une personne normale, qui pourrait être aimer, qui aurait le droit au bonheur... Je ne voulais pas faire de mal... ~~C'est toujours la même chose avec toi, disparaît, monstre, ne laisse rien derrière toi, évapore toi seulement. Tu ne mérite pas d'être heureux~~ Je n'avais presque plus conscience de l’extérieure, mes pensées ne me laissaient plus maîtrisé grand chose, je devais, juste l'aider elle. J'allais, je devais la laissée en paix loin de moi, j'allais de nouveau rester seul, ma décision n'était qu'un misérable échec, je n’étais pas fait pour une vie normale, pas moi, j'allais de nouveau m'écrouler misérablement . Mais avant cela... Je pris la parole d'une voix des plus tremblante, éteinte et forcée.


Je, je suis désoler, je dois m'absenter... Pardon .


Je la décalée ensuite sur le coté doucement de mes deux mains sans la brusquée, me levant, comme un mort vivant, les yeux déjà bien humide, me forçant à avancer vers la porte, prêt à m'effondrer a n'importe qu'elle moment, alors que je taper contre le coin du mur devant moi, me stoppant en ravalant de nouveau ma salive, ouvrant la bouche pour lâcher un minuscule "désoler" inaudible avant de tourner dans le couloir, en ayant complètement sortit de mon esprit le fait que la porte était fermer.

Je levais la main vers la poignée de la porte, m’imaginant m'effondrer le long du mur derrière celle ci, alors que je ressentis soudainement une chaleur se déposer sur mes épaules, elle me tirait de mon obscurité tout à coup, alors que je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait ...

"Ne me laisse pas..."


Esmeralda ? Mais, je partais pour... Je ne comprenais plus très bien, c'était agréable de la ressentir contre moi. Je souris finement en me retournant, alors qu'elle chutait alors en pleurant, je ne pus m’empêcher de laisser quelques larmes ruisseler le long de ma joue, alors que je les essuyais lentement.

"
Pardonne moi..."    


Je ne comprenais toujours pas ce qu'il se passait, alors qu'a mon tour, je sentis mes genoux flancher sous ma culpabilité, me faisant chuter sur les fesses en face d'elle... J'allais la laisser, alors qu'elle avait besoin de moi, quel idiot j’étais, je devais me mettre de coté pour elle, j’étais fou amoureux d'elle, je voulais passer ma vie avec elle et pas partir comme un lâche. Je passais mes mains dans ses cheveux, les amenant sous ses épaules lentement, pour la tirée contre moi, afin de la prendre dans mes bras et la serrais tendrement contre moi, la tête ancrée sur son épaule.


Ne t'excuses pas, je suis un idiot... J'ai tellement peur de te faire souffrir avec mon pouvoir, je veux seulement t'avoir à mes coté et te voir heureuse. Mais j'ai si peur que tu me rejettes comme les autres, je ne veux pas devenir une menace pour toi. Par dessus tout les plaisirs de la vie, je veux rester près de toi, parce que je t'aimes ! Quarante milles frères et tout leur amours ne sauraient égaler la somme de l'amour que j'ai pour toi Esmeralda.


Je lui câlinai les cheveux tendrement, restant assis dans le couloir, à savourer cet instant contre elle, elle qui était la seule pour qui je pourrais me mettre de coté, la seule à je pourrais tout dire, n'importe quoi, n'importe quand... Finalement elle avait eu raison tout a l'heure, je voulais lui appartenir moi aussi, pas comme un objet, mais comme un amour, je voulais être à elle, comme je la voulais rien que pour moi.

"J'ai peur Jiyu..."

Je le savais très bien, je la serrée contre moi, tentant de la réconforté de mon mieux en lui câlinant les cheveux délicatement, glissant les doigts tout du long de ceux ci lentement. Je devais faire de mon mieux pour elle, lui prouver que j'étais sincère afin de la rassurer.

"Je suis tout simplement terrorisée à l'idée que quelqu'un puisse en savoir autant sur moi... On dit souvent que le savoir c'est le pouvoir, et je sais mieux que n'importe qui que c'est le cas... Mais toi... tu brises en quelques instants l'armure que je porte depuis mon enfance et qui me protège... Tu bouscules mes sens et mes pensées... Tu me bouleverses complètement parce que je ne peux pas me cacher avec toi... Et ça fait mal... Ce n'est pas toi le problème, c'est moi... "

Je la serrée de plus en plus contre moi, à la fois brusque et tendre, je voulais lui faire comprendre que c'était pour elle que je me trouvais la, me laissant doucement m'allonger dos au sol, en la gardant sur moi. L'embrassant de nouveau en amenant son visage des deux mains contre le mien, lui palpant ainsi les lèvres tendrement des miennes, et ce d'une méthode passionnée... Après quelques instants à savourer ce moment, je reculais lentement mon visage, lui câlinant les joues et les cheveux délicatement.

Ne t’inquiète pas, prends le temps d'y réfléchir, tu connais mes intentions envers toi, tu peux tout savoir de moi si tu le souhaites. Je veux devenir tient Esmeralda. Bien évidement je me contenterais d’espérer que tu m'aimes à ton tour , car je ne peux contrôler tes sentiments, ni les miens, alors je serais patient... Pour toi, ton amour, ta confiance et tout le reste, je te le promet, j'attendrais. Alors tu être rassurée... Cesse de stresser, repose toi sur moi, je suis la pour toi et rien d'autre.

Je l'embrassai de nouveau, passant mes mains dans son dos pour la serrer contre moi affectueusement, alors ma langue se glissai doucement entre ses lèvres, pour s'enrouler autour de la sienne délicatement, la titillant légèrement. Alors que je profitais au maximum de ce doux moment avec elle, dans ces bras, bien que l'endroit n’était pas vraiment adapté... Mais ça, je m'en fichais complètement. L'important, c'était Esmeralda et elle était la, avec moi.

Elle se leva lentement, alors que mes yeux la suivait avec attention, je lui souriais doucement en pensant a quel point je voulais être avec elle, rester à ses coté, sans nous mentir, ni nous cacher quo que se soit.

-Allons discuter ailleurs... Je ne suis pas sure que l'entrée soit le meilleur endroit pour cela...

Je riais en me redressant, allant tranquillement m'installer au salon, la voyant nous servir un verre a chacun , puis, étrangement je ne pus m’empêcher de la voir de nouveau en train de pleurer, je ne voulais plus jamais revoir cela, c'était vraiment trop insupportable pour moi de la voir souffrir par ma faute... Je lui souriais finement.

-Je ne me repose sur personne... Je m'appuie de temps en temps mais... On m'a très bien appris que je ne devais jamais compter sur autrui trop longtemps... On m'a très bien apprit beaucoup de chose...

Je ne pus m’empêcher de soupirer de froncer les sourcils, avant de tranquillement prendre mon verre pour en boire quelque gorgée sans un mot, ressentant une vive chaleurs me prendre du palet jusqu’à l'estomac je n’étais pas un grand buveur et malgré mon calme et mon sérieux, je tenais mal l'alcool... Quand elle m'invita a ses coté, je repris le verre en bouche, afin d'en vider le contenu d'une traite, me décalant contre elle pour déposer ma tête sur son épaule, reposant quelque peu maladroitement le verre sur la table, sans le faire tomber.

-Je suis une "tueuse à gage" Jiyu... On va appeler ça comme ça... J'ai tué pour de l'argent et chez moi, on nous a toujours dit qu'un tueur reste un tueur... J'ai les mains pleine de sang et l'âme aussi noire que du charbon... Penses-tu vraiment pour accepter cela ? Ou même penses tu que c'est une bonne chose pour toi de rester près de moi ? Quitte à devenir comme moi à ton tour ?

Je ravalais ma salive en me câlinant contre son épaule doucement, j'étais bien la, et je ne devais pas dire de bêtise, bien que ma tête commencer à divaguer légèrement, je me devais d'être des plus sérieux, car tout cela compter énormément pour moi.

Je, je ne suis pas sure d'être le genre de personne a prendre peur pour ce genre de chose, pour moi, il n'y a pas de bien ou de mal tant que, de nous même nous n'avons la conviction que quelque chose est mauvais. Pour être plus clair, je ne jugerais rien, sans être sure que c'est comme ci ou comme ça, quand, comme moi, tu peux lire dans l'esprit des personnes, tu connait leurs véritable intention. L'ange peut être un démon et vis versa... Je ne peux me permettre d'avoir des préjugés. Donc, qui que tu ai étais par le passé, tu es ce que tu es et cela, j'en suis tomber amoureux. Alors quelque soit les risques, je te suivrais Esmeralda. Sans hésitation.

Elle était sur moi, elle m'embrasser comme jamais, elle me mordait me caresser, elle se plaçait ensuite à califourchon sur moi prolongeant son baiser, me titillant en gigotant vivement, l'aire plein de malice,d'excitation et de sensualité. Je ne pouvais m’empêcher de commencer a suer,alors que mon rythme cardiaque s’accélérer, suivie par logique de mon souffle, alors que je resentais mon membre qui commençait à réclamer de l'aire.

-C'est trop mignon... ♥ Mais... je n'ai plus envie de discuter...

Elle était si proche, si chaude... Je voulais la dévorer, mais, je tremblais, je n'avais jamais fait cela de toute ma vie, que ce soit pour l'amour, les baiser et ce que l'on s’apprêtait a faire, toute mes premières était pour elle, j'avais tellement peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas la satisfaire, de ne pas assurer. Quel angoisse insoutenable... Mais, avant que je ne m'en rende compte, mes désirs et mes instincts avaient pris le dessus, alors que je plaçais mes mains contre sa poitrine, pour abaisser son décolleté fermement, laissant rebondir ses deux seins semblant malicieux devant moi, qui me contentai de ravalai ma salive en rougissant vivement.

Oh, pa-pardonne moi, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je n'y connais rien dans ce genre, d’expérience, j'ai envie de rendre cela inoubliable pour nous deux, alors on devrait surement y aller autrement, tu ne penses pas ? Plus, doucement, ou plus dans les règles, tu comprends ? Comme des gens normaux, et non comme des bêtes.

J'avais beau dire cela, mes yeux ne la regardée plus vraiment, alors que mes lèvres entouraient déjà l'un de ses téton, afin de me laisser le téter, à l'image d'un nouveau née affamé, levant la main droite sur l'autre pour le saisir pleinement et le malaxer de mes doigts, c'était, tellement excitant... J'étais en irruption, j'avais mal au niveau de l'entre jambe, car mon membre pousser mon jean de plus en plus loin en gigotant par moment, venant lui caresser l'intimité à travers sa robe, alors que je rompais mon suçon bruyamment...

Je, je ne peux pas m'en empêcher, je l'ai tellement désirer et tu en as envie toi aussi, j'ai l'impression que je vais fondre tellement je suis excité... A mes yeux, tu es tout simplement parfaite, mais je ne sais pas exactement comment assurer. Je n'ai aucune expérience...


J'avais mal à la tête à cause de mon dernier verre et puis, c'était, Esmeralda, je ne devais pas faire ma sainte ni touche. Elle était la, sur moi, seins nue, je  devais en profiter, lui offrir tout ce que j'avais à commencer par mon corps. Mon cœur étant a elle depuis quelque temps déjà. Donc, à part mes quelque secrets tabou, et mes inspiration ainsi que mes écrits; Il ne restait pas grand chose... Je devais donc, vivre l'instant présent et en profiter un maximum, car il était parfait cet instant, avec elle.

Elle se leva lentement, après m'avoir effleurer la joue... Je ravalai ma salive, l'observant d'un air de chien battu, me levant presque immédiatement après elle, ne la lâchant pas du regard, ou allait elle ? Je ne voulais pas qu'elle parte, et moi ? Je paniquais alors subitement et vivement, je ne voulais surtout pas être seul...

-Je pense que la chambre serait plus confortable si tu veux y aller doucement... Ça ne me dérange pas...

Mon visage repris des couleurs et un long sourire se déssina, alors que je la voyais, elle se déshabiller lentement, je ne pus m’empêcher de défaire les boutons de mon pantalon en la suivant, l'abaissant en sautillant pour le laisser a l'entrée de sa chambre... Je sentais mon membre sortir la tête de mon caleçon déjà bien tendu, alors qu'elle m'ôtait mon t-shirt en m'embrassant, un peu partout, baiser que je m'empressais de lui rendre dans le cou, puis sur les seins, alors que je venais palper ceux ci de mes lèvres, amenant ma main le long de sa jambe, pour lui caresser la cuisse délicatement. Je levais ensuite la tête pour plaçai mes yeux face aux siens, grand ouvert, ils étaient pétillant  et humide, l’émotion s'emparant peu à peu de moi, alors que je ravalais ma salive de nouveau. Me blottissant sur son épaule en la serrant contre moi tendrement, passant ensuite mon autre mains dans sa chevelure, alors que la première se glissai lentement dans sa culotte, caressant lentement son intimité jusqu'en bas, l’arrêtant sur celle ci, séparant mes doigts pour la caresser dans sa totalité, le pouce titillant habilement son clitoris, en laissant les autres doigts se glissaient en flirtant avec son entre jambe sensuellement.

Je suis tellement excité, j'ai l'impression que mon cœur va exploser, c'est tellement chaud ! Je veux vraiment faire de mon mieux, alors dit moi, si je fais une bêtise, ou si je dois faire quelque chose de spéciale, d accord ?

Je replaçais ma tête au niveau de ses seins après un rapide mais gourmand baiser, descendant une mains sur sa joue, pour la caresser en la plaçant sur celui de droite, afin de venir le palper lentement, j'amenais ensuite doucement ma bouche ouverte sur l'autre, pour le lécher, le sucer et le mordiller bruyamment. J'entrais alors mon index de l'autre main en elle lentement, l’amenant jusqu'au bout, en continuant de la caressée des autres doigts... Commençant à la pénétrée et le retirant doucement sans arrêt, prenant un rythme lent mais terriblement sensuelle, en le pliant en elle par moment. Pour finir, je remontai ma langue le long de son cou en la léchant lentement, l'amenant jusqu'à ses lèvres pour l'embrasser fougueusement de nouveau.

"Tais toi et fais ce que tu penses devoir faire... Je te fais confiance, je sais que tu ne me feras pas mal, alors vas y... Et arrête de parler sans cesse..."

Je sentais mon bassin se cambrer lentement, alors que je soupirai de plaisir, mes joue étaient chaude, mon corps lui était brûlant, le bout de mes doigts libre me picotaient étrangement, alors que je les faisaient passer sur sur tout son corps, de la joue jusqu’à son bas ventre la caressant entièrement. Pour me cambrer un peu plus ensuite, lui descendant sa culotte de la mains gauche malicieusement. Je la plaçais au niveau ses genoux, alors qu'a mon tour je venais descendre mon caleçon au même niveau, lui caressant le bras au passage, pour ensuite replacer ma main sur sa joue. Je ne savais pas pourquoi mais j'avais peur d’aller trop vite, je voulais prendre mon temps, pour lui offrir un peu plus de plaisir... Je voulais lui faire oublier son quotidien, lui faire oublier tout ces problème, la prendre comme dans les livres et lui ouvrir les porte d'un nouveau refuge, dont je serais le seul a avoir la clé..

Je laissais donc ma main droite, toujours entre ses deux jambes, la faisant lui caresser l'intimité intégralement,tout en ajoutant alors un doigt en elle, pour le coller à l'autre afin de continuer de les faire se retirer et venir délicatement, les laissant se faire a cette place, en les gigotants pour pousser délicatement les alentours, voulant entrer dans son petit jeu tout taquin.

Je restais alors au dessus d'elle, la regardant entièrement, tout en me demandant alors, ce qu'était l'amour... Je déposai mes lèvres sur les sienne subtilement, et je profitais, oh que oui ! J'en profitais de cet instant, pour pouvoir m'en souvenir lorsque les choses iront mal... Ma première fois, avec la seule femme pour qui je pourrais mourir, mais aussi vivre. Voila peut être ce que signifier aimer pour moi, je souriais alors en passant ma mains libre dans ces cheveux doucement, sans rompre mon baiser.

Je peux très bien mourir pour sauver un inconnue, par bravoure. Mais je ne veux vivre que pour toi Esme, je ne pourrais me résoudre à oublier mes objectifs, mon quotidien, mes rêves et tout ce qui fait ce que je suis, jamais. Mais, je ne les mettrais de coté, uniquement et seulement pour ta personne, ton bonheur et le reste... Désoler, je devais me taire mais, je voulais te dire ce pourquoi je t'aimes. C'est parce que tu es la seule à pouvoir me faire penser cela, sans que je me mentes.

Je lui souris de nouveau, ne pouvant m’empêcher de la titillée de la sorte, j'étais heureux, je l'étais sincèrement, je voulais qu'elle le soit aussi, pour de vrai. Car ces mots, nos caresses et l'amour que j'avais pour elle. Tout ces moments et cet instant en particulier, oui, tout était vrai.

Je ravalais ma salive, c'était tellement excitant, nous deux, dans se lit, nue tout en sueur, a nous caresser l'un, l'autre... Excitant oui, mais cela ne me suffisais plus, je voulais, passer le pas, entrer en elle pour pouvoir passer un moment divin rien que tout les deux. Je me redressais doucement, posant mon index sur sa lèvres délicatement en l’observant, un feu ardent me consumant du cœur jusqu'au fond des yeux. Je baissais mon doigt, le passant sur son menton, puis, ma main entière se posa sur sa joue. Dans mon regard, on voyait, que je devenais peu à peu, un prédateur. Ma proie était la, elle s'offrait d'elle même à moi, c'était parfait... Je déposais alors mon autre main,sur son autre joue, la regardant toujours de mes yeux l'aire chasseur. Puis, subitement! J’élançais mes lèvres contre les siennes, passant ma langue entre celles ci, pour entourer la sienne, en palpant fougueusement sa bouche de la mienne, lui  tenant toujours la tête pour contrôler se baiser sans retenue. Pendant le baiser, je la faisais se renversée en arrière, revenant au dessus d'elle, tout en collant mon corps au siens, plaçant mes mains dans les siennes pour tendre nos bras devant moi, ses mains sortaient du lit alors que je ne rompais se baisers qu’après quelques longue secondes, me redressant, pour saisir ses hanches, les écartant lentement pour la tirée contre moi brusquement, plaçant ensuite mon sexe sur le bout de son intimité, pour venir la pénétrée tendrement pour finir...

Ce qui se passait en moi était alors tout nouveau, inconnue. Je m’allongeais sur elle en plaçant mes mains dans sa chevelure, déposant mes lèvres sur les siennes pour lui offrir un nouveau baiser, d'une sensualité époustouflante, c'était tellement bon, se baiser ne lui laisser pas le choix, la laisser jouer, mais me laisser le contrôle . Mon bassin lui, se colla contre le sien, alors que je frémissais sans rompre notre baiser, sentant mon membre se blottir au fond d'elle comme si il avait trouver l’éden. Tout se que je ressentais alors dans ce lit... Son corps collé au mien, ces cheveux dans lesquelles se baladaient mes doigts, ces lèvres que je massais des miennes, sa lange que je venais goutter passionnément. Tout cela, était alors, comme libérer! Libre de  toutes barrières, barrières derrière lesquelles se trouvait un plaisir d'un autre niveau, un plaisir sensationnel que je commençais a peine à découvrir. Mon corps bouger de lui même alors que mes fesses poussaient légèrement les sienne, pour se reculée ensuite et les laissées se remettre à leur place. Pour moi, c'était comme si nous avions fusionner, comme si à cet instant, nous ne faisions qu'un elle et moi. Mon sexe entrer et sortait tendrement, alors que je rompais notre baiser, amenant mes mains sur ses joues de nouveau pour les caressées fougueusement, passant lentement mon pouce sur ses lèvres pour jouer avec celles ci délicatement... Alors que, tout doucement, mes gémissements se laissaient entendre dans la chambre.

Je perdais peu à peu le contrôle de moi même, la douleur était elle aussi indescriptible, comme si mon corps s'était éveiller à tout ce qu'il touchait et le touchait, je n'avais jamais ressentis autant de plaisir auparavant... Et ses ongles plantés dans mon dos ne faisaient qu'augmenter mon désir d'en faire plus... J'avais envie de me lâcher, de moins faire attention à mes caresses, pour me concentrer sur ce qui nous apporter ce plaisir fulgurant. Par contre, je refusais de me séparer de son corps trop longtemps, de ne plus l'embrassée, ne plus la voire et la sentir contre moi. Au contraire, je voulais avoir plus de ce genre de chose! Alors que je passais ma main sur sa gorge pour doucement lui lever le menton amenant ses yeux vers la porte de sortie, afin de placer mon visage sous mes doigts lentement. Puis, après avoir humer un moment sa poitrine, je revenais subitement planter tendrement mes dents au beau milieu de son cou, alors que je devenais plus brusque en elle, je voulais, aller plus loin de mon sexe, je voulais, plus de plaisir, pour moi comme pour elle ! Je du passer mes bras sous les siens, pour les encrés contre ses épaules.. Afin de ne pas la voir se séparée de moi, devenant de plus en plus audacieux de mon bassin, qui ne se reculer presque plus, mais qui pousser le siens de coups rapides et fermes. C'était alors tellement bon... Divin même, alors mes dents lui lâchèrent la gorge, pour laisser ma langue se déposer sur les marques de sa peau, venant les caresser sensuellement pour finir...

Ensuite je me redressé, cambrant mon corps vers le plafond, en ramenant mes bras sur le  dessus de ses épaules, pour la maintenir contre le lit, alors que mon sexe se glissait en elle de plus en plus, mes fesses se levant vivement, pour s’abattre ensuite sauvagement, puis se relevaient sans attendre plus d'une seconde, afin de recommencer se manège encore et encore, me rendant peu à peu de plus en plus rapide, habile et réellement dépendant... Apres quelques instants, je levais lentement la tête en la regardant, son visage était alors tellement merveilleux, depuis que j'étais entrer en elle ses pensées me consumaient l'esprit, j'étais à elle,  elle m'avait accepté comme sien, elle pourrait peut être finir par m'aimer à son tour, un jour... Mais pour l'instant, je ne pouvais pas trop y penser, j'étais alors littéralement dévoué a nous procurer de plus en plus de plaisir. Encrant de nouveau ma tête sur son épaule, pour la sentir lentement en me collant de nouveau contre elle, les yeux fermés, pleinement concentrer sur le fait qu'on puisse en faire encore plus. Alors que mes gémissement se faisaient de plus en plus fort et que mon corps continuait de se mouvoir sauvagement contre le sien... Je me sentais de plus en plus sur le point de perdre la raison avec tout ce plaisir et mon excitation, mon membre ayant définitivement trouver son coin de paradis et moi aussi par la même occasion.