Attroupement... (suite de "Une affaire de délégué:Sali)

Et beeeeen je crois, que c'est un truc en rapport du poids des choses... Après il faut que je me concentre sur le ou les objets que je veux faire voler pour le faire et ensuite, je sais pas... Mais je crois que ça concerne les choses si elles sont encrée ou pas dans le sol...

Je vois un peu,une question de poids.Plus c'est lourd plus c'est difficile et inversement.je l'entendis murmurais quelque chose mais je ne savais pas ce qu'elle venait de dire.J'entendais du bruit dehors.Je regardais pas la fenêtre et je voyais un attroupement d'élèves,ils étaient disposés en cercle.Il doit surement y avoir une bataille ou quel que chose du genre.je sortais de la salle pour aller au terrain extérieur,celui dont on ce sert pour jouer au base-ball,au rugby,des fois au football.Je parlais tout seul en observant de loin ce qu'il ce passait.

Je sens que je vais devoir calmer du monde là...

Je soupirais en m'approchant de la foule.Quand j'arrivais près des élèves la plupart qui me voyait s'écartait,j'en poussais quelques uns et je me retrouvais assez vite au centre ou 6 élèves se battaient.j'essayais de leur faire comprendre qu'ils devaient s'arrêter.J'essayais quelques fois,sans succès,je craquais mes doigts,mon cou et mes épaules,j'étais en train de me dire que la version violente de l'explication serait peut-être plus compréhensible pour eux...

Je sens que je vais devoir calmer du monde là...

Je soupire, encore un, même si c'est le prof c'est pas trop une raison pour s'y intéressait ! Je leve la tête et vit qu'il était déjà en train de se frayer un passage vers la bagarre. Je soupira, puis finit par me lever et d'aller m'installer contre un mur extérieur du gymnase. C'était vraiment un très gros attroupement ! Les élèves que Talier avait poussé le regardait d'un air complètement ahuri. Je ris légèrement amusée.

Soudain, l'un des élèves se retourna, je le reconnu immédiatement, je l'avais déjà battu trois fois cette semaine. Je soupire, je suis presque sûr qu'il va encore me lancer une des ses remarques à la cons qui fait rire la galerie. Il eut son sourire à la con qui me disait rien de bon et il déclara haut et fort pour que ses amis l'entende bien.

- Hey les gars ! Regarder y a Cruise qui observe encore ! Qu'est-ce que t'attend pour venir te joindre ?

Ses potes éclatèrent en coeur d'un rire qui sonnait faux. Je soupira et dis avec un ton ironique.

- Que tu ailles te cherchais un cerveaux, ainsi que tes copains !

Nouvel éclat de rire de leur part... Franchement, je viens de les insulter et eux ils rient ! à mon avis y a qu'un seul qui à bien compris. Et c'était leur soit disant "chef". J'avais l'impression qu'il cherchait quelque chose à répliquer.

- Qu'est-ce qu'il y a Cruise t'as peur de perdre contre moi ?

J'éclate de rire.

- Perdre ! Contre toi ?! Tu rêves ! Je t'es déjà mis à terre trois fois dans la semaine, tu veut une quatrième ?

Il plongea son regard dans le mien, je lui lance un regard noir. Il fut le premier à reprendre la parole.

- Approche pour voir ! J'ai fais des progrès tu sais !

- Des progrès ?! Tu te moque de moi ! La dernière fois que je t'ai mis à terre c'était hier ! Et devant tout tes potes !

Et sans prévenir, il fonça tête la première sur moi. Je m'écarta légèrement, et pas de chance pour lui, il se prit de plein fouet le mur. Le jeune idiot s'étala à terre comme une crêpe qu'on a pas rattraper. Je ris amusée. Il se redressa...

Un des élèves qui se battait se retourna pour regarder Sali qui venait d'arriver.Ils s'échangèrent quelques phrases,des phrases du style de gamins qui se chamaillent.Je regardais le gars puis Sali en fonction de la personne qui parlait.Ils se connaissaient mais c'était pas la joie,c'était même légèrement violent à mon goût.Enfin bref c'était un débat pour savoir qui était le plus fort,pour avoir combattu ne serait-ce que quelques minutes avec Sali je savais qui était le plus fort des deux.Il faut donc éviter le massacre maintenant...
Je voyais le gars partir sur Sali en courant,elle ne fit que s'écarta pour qu'il se prenne le mur,c'était digne des plus grands imbéciles.Il se releva et commença à menacer Sali.
Je m'approchais de lui avant de lui dire.

Va falloir mettre ton ego de côté et rangeais ta fierté d'homme qui te dit que perdre contre une fille c'est déshonorant.J'aimerais éviter que tu t'en prenne une pour te réveiller à l’hôpital.

Animé par une rage que j'avais surement amplifier,comme de l'huile jeter sur le feu,il tenta de me frapper à plusieurs reprises.Il appela ses camarades pour l'aider,ils sont venus pour tenter à leur tour de me frapper.J'esquivais tout leurs coups avec un peu d'ennui avant de leur dire.

J'espère que vous savez qui vous essayez de frapper...parce que là vous jouez avec le feu.Alors je vous conseille de vous arrêter tout de suite.

C'était ma dernière tentative pour les calmer sans utiliser la force.Ils s’arrêtèrent un moment,je regardais Sali puis je me retourner vers le groupe d'élèves aux esprits belliqueux.Je les fixais en attendant leur réaction.Dans leurs intérêt je préfèrerais largement qu'ils s'arrêtent mais j'ai pas l'impression qu'ils vont redevenir calme juste comme ça...

Va falloir mettre ton ego de côté et rangeais ta fierté d'homme qui te dit que perdre contre une fille c'est déshonorant.J'aimerais éviter que tu t'en prenne une pour te réveiller à l’hôpital.

Je tourne la tête vers la direction de la voix, et bien sûr c'était le prof. Je soupire, ah non il allait pas me gâcher ce plaisir ! Bien sûr, il se releva et l'attaqua. Vu qu'il n'arrivait même pas à le toucher, il appela à l'aide à ses gentils potes. ça n'avança à strictement à rien... Je soupire de nouveau, absolument rien dans la tête. Je retourne m’appuyer contre le mur pour observer la petite scène, assez amusante à mon gout.

J'espère que vous savez qui vous essayez de frapper...parce que là vous jouez avec le feu.Alors je vous conseille de vous arrêter tout de suite.

Je ris légèrement amusée. Il avait des têtes d'ahurie, je finis par dire sur un ton ironique.

- C'est le prof de sport ! Et si j'étais vous je le chercherai pas plus longtemps, car il est vachement balèze !

Aussitôt dis, les cinq garçons qui composés le groupe s'éloignèrent tout dans s'excusant. Le dernier fut celui qui m'avait cherché quelque minute plutôt. Il me lançait un regard noir, j'haussais les épaules et dis d'un ton amusée.

- Je faisais juste que m'entraîner, et puis tu peut lui dire "merci" car je n'aurai pas hésiter à t'envoyer à l'hôpital.

J'ajoute un sourire sadique à ma phrase. Il déguerpit aussi vite qu'un lapin.