Sur le chemin du combat:

Aujourd’hui Célia était de mauvaise humeur. La raison exacte de son mécontentement était inconnu mais quoiqu’il en soit elle était énervée contre tous ce qui l’entourait depuis ce matin, on aurait pu dire qu'elle s'était levée du pied gauche au détail près qu'elle ne s'était pas couchée de la nuit. De l’aube au repas elle avait passée son temps à pourrir les rêves de tous ceux qui avaient le malheur de vouloir faire une grâce matinée, puis vers une heure, après avoir donnée un grand coup dans l’armature d’un lit de l'infirmerie, s'être fait mal au pied et avoir insulté copieusement le pauvre meuble qui n'avait rien demandé, elle avait décidé d'aller se dépenser au gymnase. En chemin elle avait endormie sans raison particulière plusieurs personnes qui se trouvaient par infortune sur son passage les abandonnant au milieu des couloirs et une fois arrivée à destination elle avait sortit une épée non aiguisée et un poteau d'entrainement sur le quel elle avait tapée comme une furie pour se défouler. Lorsqu'elle fut assez essoufflée elle se calma légèrement, elle était toujours aussi sombre mais elle se sentait un vaguement mieux. Ses mains tremblaient un peu à cause des vibrations dues aux chocs répétés. Elle fit craquer ses articulations et agita un moment ses doigts dans le vide. Elle enchaîna ensuite une série de mouvements à l'épée, elle semblait combattre des ennemies invisibles, comme une sorte de kata jusqu'au moment où elle fut soudainement interrompue.

Sali c'était réveil d'assez mauvaise humeur, les muscles de son épaule endolorie. Elle resta un long moment à contempler le plafond de sa chambre. ça faisait plus d'une semaine qu'elle n'y arrivait pas. Elle commençait à douter sur cette théorie qu'elle avait inventée. Elle n'avait réussit qu'à faire un minuscule impacte, et encore c'était un coup de chance...

Elle se leva, les cours ne l'intéressait plus, à part peut être ce rendre à la salle de musique après tout les cours. Mais sinon elle en avait finit avec toute ses heures de colle, et puis qu'importe, les profs se fichaient d'avoir un élève en plus ou en moins dans la classe D. D'ailleurs, la jeune fille croit bien que si les profs le voulaient ils ne viendraient même pas faire cours à cette classe.

Elle sortit de sa chambre, une idée légère en tête. Elle devait d'abord passer prendre un truc à manger, après elle réessayera, elle n'arrêtera pas tant que quelqu'un ne lui aura pas démontré que c'était impossible à faire. Elle attrapa rapidement le premier croissant dans la cafétéria puis fila aussi rapidement qu'elle était arrivée. Elle essayait de se représenter tout les moyens : la pierre lançait, l'amélioration de sa vitesse avec son pouvoir jusqu'à ce que celui ci percute un obstacle...

Elle jeta un regard à l'horloge se trouvant dans le hall... Réalisant qu'elle avait dormi presque jusqu'à midi elle pesta silencieusement en continuant de manger son croissant. Qu'importe ce que lui disait les surveillants ou les élèves, elle avançait sans ce presser vers la salle d'entrainement. Elle eut un sourire amusée en repensant à la fois où elle avait failli cramé le bâtiment en essayant de battre le prof de sport.

Au lieu de filer tout droit vers le cours de tennis. Elle savait que les élèves rangeait les balles de tennis là-bas. Hors elle n'était pas d'humeur à négocier avec un élève. Elle traversa un terrain de tennis occuper par deux joueurs, l'un commença à l'insulter car elle avait interrompu la partie. Elle lui adressa un bras d'honneur et continua son chemin en faisant de même pour ceux qui lui répondait.

Elle finit par trouver se qu'elle voulait. C'était une espèce de machine qui envoyait les balles et le joueur devait les renvoyés. Elle prit deux balles dans la première machine qu'elle croisa, le joueur à qui affronté la machine resta bouche bée devant ce qu'elle venait de faire et se prit deux balles. Elle sourit amusée et décida de partir à la salle d'entrainement. Devant la porte, se disant qu'il ni aurait personne à cette heure là, les élèves devaient plutôt être en train de se reposait après avoir mangé.

Elle lança une des deux balles de tennis qu'elle avait. La se focalisa dessus, concentrant son pouvoir pour la garder en l'air et pour amélioré sa vitesse. Sauf qu'elle ne réussissait jamais à faire les deux en même temps. Et c'était le cas : la balle fila à toute vitesse mais commença à tomber. Elle soupira et arrêta d'exercer son pouvoir sur la balle, ça ne servait à rien. Elle pénétra dans le bâtiment, elle s'étira en levant les deux bras en le plus haut possible et en allant en arrière. Elle regarda la salle entière constatant qu'il y avait quelqu'un...

On aurait dit une élève, mais pourtant Sali avait l'impression de l'avoir déjà vu... Elle lança la balle de tennis plusieurs fois en l'air en essayant de se souvenir du nom de la personne... Sommeil, non... Somail ? Nan presque. Som... Elle se rappelait que ça commencer par ça, mais... Somey ! Célia Somey l'infirmière ! Elle avait oubliée la balle qui lui retomba sur la tête. Sali dit tout en se baissant pour la ramasser.

- Bonjour Mademoiselle Somey !

En se rappelant bien ça faisait longtemps qu'elle ne l'avait plus vu. D'ailleurs elle ne se souvient même pas s'il elle était revenu la voir pour sa main. De bref vision des sales bêtes de Uruky lui revient en tête. Elle se eut une grimace en repensant à lui, elle était restée coincé un moment dans cet arbre, et avait récolter plein de coupure. Elle fit venir la balle de tennis, elle la lança en l'air, puis demanda.

- Excusez moi, mais est-ce que vous connaîtriez un certain Kiyo Uruky, il est dans la classe D.

Sali ne s’intéressait pas réellement à son cas, mais il lui avait semblé que le gros oiseau qu'il avait invoqué l'avait abîmer. Et vu la carrure du piaf, elle espérait quand même qu'il ne s'était pas fait trop mal, après tout c'était un peu de leur faute à tout les deux...

(Hrp : J'espère que c'est bien, si il y a quelque chose qui ne va pas je peux changer)

Célia entendit quelqu’un entrer mais n’y prêta pas attention. Elle était toujours de mauvaise humeur et pensait qu’avec un peu de chance cette personne partirait pour pas la déranger ou à la limite resterait pour s’entrainer en silence.
« - Bonjour Mademoiselle Somey ! »
La politesse ne faisait jamais de mal à personne mais Célia n’était même pas bien disposée à cela. Elle suspendit son mouvement à peine un instant.
« - Bonjours. » Lâcha-t-elle dans un souffle sans même regarder l’élève.
Puis elle reprit son enchainement accélérant ses gestes. L’épée tournoya de plus belle entre ses mains. Mais de nouveau la voix retentit.
« - Excusez moi, mais est-ce que vous connaîtriez un certain Kiyo Uruky, il est dans la classe D. »
Kiyo ? L’infirmière s’arrêta brusquement. Pitié qu’on ne lui dise pas qu’il avait encore relâchée une de ses maudites créatures dans l’école. La dernière fois plusieurs élèves avait faillit mourir gelé dans une coque de glace éternel. Le tigre et le propriétaire avaient eux aussi sacrément morflé.
« - Oui. »
Après réflexion ce ne devait pas être ça vu le ton de la question. Elle se tourna vers l’élève. Sali Cruise. C’était une de ces premières patiente lorsqu’elle était arrivée au pensionna, elle et le type qu’elle avait balancé par la fenêtre. D’ailleurs n’avait-elle pas aussi fait de même avec Kiyo ?
« -Il est venu me voir lorsqu’il s’est blessé après que tu l’ai lâché dans le vide. »

« - Oui. »

En entendent la réponse de l'infirmière, Sali regretta presque aussi tôt sa question. C'était vraiment stupide comme question, il était presque évident qu'elle le connaisse.

« -Il est venu me voir lorsqu’il s’est blessé après que tu l’ai lâché dans le vide. »

Sali serra les dents. Elle ne l'avait pas lâchée, elle ne l'aurait même pas lâchée, tout ça est de sa faute c'est lui qui a paniqué et fait n'importe quoi. Sa main se crispa un peu sur une des balles tenus. Elle fronça légèrement les sourcils et dit.

- Que les choses soit clairs, je n'avais aucune intention de le lâcher, c'est de SA faute. Je sais que j'ai une sale réputation, mais si il n'avait pas invoquer sa bestiole aux griffes démesurées je ne l'aurai pas lâché.

Elle se retient d'en rajouter plus. De toute façon elle ne voyait pas quoi ajouter. Sali fit tournoyer dans l'air une des trois balles empruntées. Elle n'avait vu que ce genre de balle qui lui était le plus utile. Elle arrêta. La balle tomba, sous l'emprise de la gravitation de la Terre. Un mince sourire se dessina sur les lèvres des la jeune fille. Elle se tourna de nouveau vers l'infirmière et ajouta.

- Désolé pour le jour de votre arriver, c'était bien moi qui l'ai fais passé à travers la fenêtre...

Un sourire à mi chemin entre amusé et innocent était apparu sur son visage...

(Désolé pas beaucoup d'inspi...)

Blablabla. Tout ça c’était bien beau mais Célia se moquait éperdument de ce que racontait la jeune Cruise. Ce n’était qu’une gamine débile qui se battait sans doute des raisons idiotes. Et une bagarre ne pouvait que mal finir. Cela lui rappelait la fois où elle avait fait tombé un de ses camarades de classe dans l’escalier et qu’il s’était fracturé la hanche et le bras. En vérité elle n’avait pas voulu le poussé et l’avait simplement endormie et comme il se trouvait au haut des marches il les avait dégringolé dans son sommeil. L’infirmière ne pensait pas forcement que la jeune fille ait voulu intentionnellement le blesser. De toute façon les blessures n’étaient même pas dû à sa chute, seulement à cette saleté de piaf et vu l’état dans le quel il était à sa seconde rencontre avec ses invocations il était capable de se blesser tout seul. Mais la jeune Cruise aurait pu se douter que si elle se battait son adversaire utiliserait ses pouvoirs. Le niveau intellectuel de la classe D était-il tellement déplorable ?
« - Désolé pour le jour de votre arriver, c'était bien moi qui l'ai fais passé à travers la fenêtre... »
Célia se détourna sans un mot, elle n’avait pas qu’on le lui dise elle le savait déjà. Elle s’éloigna de trois pas puis fit soudainement volte face et balança son épée vers Sali. Célia ne cherchait pas à la toucher et l’arme passa à plus d’un mètre de la jeune fille.
« - Tu devrais voir la psy. Ou bien je te fille une raclée pour t’apprendre à plus embêté tes camarades. »
Célia sortit une autre épée du matériel d’entrainement.
« - Ça me défoulera, je suis de mauvaise humeur. »
Elle avança vers Sali en faisant tournoyer son épée et porta un coup vers la jeune fille.

Sali regarda l'épée passait à plus d'un mètre, elle s'en fichait... Son sourire s'agrandit, elle avait l'impression d'avoir touché un point sensible. Ramenant lentement l'épée vers elle grâce à son pouvoir, elle regarda avec amusant l'infirmière sortir une autre épée.

« - Tu devrais voir la psy. Ou bien je te fille une raclée pour t’apprendre à plus embêté tes camarades. »

La jeune fille eut du mal à ne pas éclater de rire. Son sourire s'agrandit quand l'infirmière rajouta.

« - Ça me défoulera, je suis de mauvaise humeur. »

Sali attrapa l'épée que Célia avait lancé par le pommeau. Rapidement, elle leva l'épée pour caler le coup que l'infirmière venait de lancé. Toujours avec son grand sourire, Sali, se pencha vers l'infirmière et dit.

- ça tombe bien, je suis d'excellente humeur !

Sali recula un peu pour mieux empoigner l'épée, puis porta un coup d'épée vers le poignet de son adversaire, espérant lui faire lâcher l'épée. Les trois balles de tennis qu'elle avait "emprunter" flottait mollement derrière la fille. Elle les lança toutes les trois vers l'infirmière, une dirigeait vers le poignet, et deux autre vers l'estomac. Toujours avec son sourire elle ajouta.

- Vous voulez toujours me mettre une raclée ?

Célia remarqua que la jeune fille regardait par-dessus son épaule, elle se souvient alors les balles qui voletaient un peu plus tôt dans la salle et ne les vit nulle part. Ce qui voulait dire qu’elles se trouvaient dans son dos. Lorsque l’élève prétentieuse attaqua Célia glissa d’un large pas vers la droite laissant les balles et l’épée ennemie frapper là où elle s’était tenue un instant plus tôt et où il ne restait qu’un espace vide. En espérant qu’avec un peu de chance elle se prendrait ses propres balles. Mais elle n’attendit pas de la savoir pour contre attaquer.
« -Minable. » Lâcha Célia.
Ce qui pouvait ce traduire par "Si tu crois m’impressionner avec une attaque aussi minable tu te trompe lourdement." Mais elle ne faisait pas partit des personnes qui se lance dans un long monologue en plein duel. C’est vrai qu’en l’attaquant elle ne pensait pas que Sali serait capable de parer son premier coup et qu’elle avait été légèrement surprise mais c’es notion d’escrime n’était sans doute pas très bonne pour avoir une attaque si prévisible. Célia poursuivit son esquive immédiatement avec un feinte, elle fit d’abord croire qu’elle frappait en estoc mais au dernier moment elle fit tomber la pointe, l’épée réalisa rapidement un tour complet pour frapper de haut en bas.

Sali esquissa une grimace en se rendant compte qu'elle venait d'attaquer dans le vide. Elle devait le reconnaître célia était rapide malgré sa petite taille...

« -Minable. »

La jeune fille dut se retenir de ne pas utiliser ses poings, si comme elle le pensait, Célia était capable d'endormir. Car la première fois que Sali l'avait vu, elle lui avait dit que son pouvoir était capable de faire taire la nature... Les balles de tennis traînaient à l'endroit où l'infirmière était quelque instant plutôt. Voyant le coup de Célia arrivait, Sali se baissa rapidement, et balaya d'un coup de jambe celles de son adversaire.
Le coup de Célia l'avait quelque peu surprise, en se baissant elle avait oublié d'utilisé les balles pour caler l'épée et à la place elle avait donc utilisé son bras. à l'endroit où l'épée avait frappé une forme rouge c'était formé. Sali se releva, et donna un coup de pied dans son épée, l'envoyant valser au loin. Elle avait toujours détestait se battre avec un objet.

- Minable toi même.

Elle sortit un élastique de sa poche et attacha grossièrement en queue haute ses cheveux. Elle utilisa son pouvoir en commençant à faire venir les balles vers elle.

Célia se prit le tacle de plein fouet et roula au sol. Elle se releva prestement et observa son adverse dons le bras semblait saigner. Comment avait-elle pu s’entailler avec une épée d’entrainement ? Ça aurait dû laisser un bleu mais pas une entaille.
« - Minable toi même. »
Toi-même ? C’était la même réaction qu’avait un gosse de cinq ans lorsqu’il ne savait plus quoi dire. Elle aurait pu sérieusement trouver mieux que "toi-même". Célia émit un gloussement méprisant qui illustrait parfaitement à quel point elle trouvait Sali ridicule. De plus elle s’inquiétait si peu de ce que pouvait préparer la jeune fille qu’elle lui laissa tout le temps qu’elle voulait pour préparer sa prochaine attaque et elle en profita pour préparer la riposte. Sali allait de toute évidence utiliser son pouvoir, c’était encore une fois tellement prévisible, elle ne cherchait même pas à cacher son intention. Célia qui jusqu’à la tenait la garde de son épée de deux mains, libéra la gauche et la glissa dans sa poche. Elle saisi sa sarbacane et y glissa une fléchette anesthésiante. Elle pensait que lorsque son adversaire lancerais son attaque elle serait trop concentrée sur les balles pour évité la fléchette que Célia comptait lui souffler.

Sali savait que ça réaction était digne d'un gosse de cinq ans, mais ça l'amusait. Elle avait de la chance que le ridicule ne tue pas, sinon, vu toutes les actions ridicules qu'elle avait faite, elle serrait déjà morte. Elle évalua la distance qui la séparait de l'infirmière, en quelque pas elle pourrait se retrouver devant elle.

Sali pencha la tête sur la gauche en voyant que Célia avait lâchait l'épée de la main gauche pour prendre un truc... Un truc long et étrange... Elle n'avait jamais vu une chose pareille. La curiosité reprit le dessus de l'amusement. Les balles tournaient toujours au sol sous le contrôle de son pouvoir, elles tournaient autours de Célia. Sali oublia rapidement qu'elle affrontait quelqu'un et se concentra sur ce que l'infirmière venait de sortir. Voyant que Célia mettait quelque chose dedans, elle décida d'agir.

Sali s'élança vers Célia, tandis que les balles se rapprochèrent d'un coup. Elle tendit le bras en avant et réussit à posait la main sur l'objet, mais trébucha contre une balle et alla rouler à quelque mètre derrière Célia. Sali éclata de rire en s'asseyant.

Se précipité sans arme sur quelqu’un qui tient une épée c’est idiot, vraiment idiot. Assez idiot pour surprendre Célia. Elle réussit sans mal à évité les balles mais l’aiguille qu’elle souffla alla se perdre dans le fond de la salle après avoir largement loupé sa cible. Célia écarta son épée car elle ne voulait tout de même pas trop blesser Sali et vit sa main effleurer la sarbacane avant qu’elle ne trébuche. La jeune fille n’avait pas réussit à s’en saisir et Célia la repoussa d’un coup de pied avant de s’éloigna d’un bond en arrière. Elle entendit un tintement familier sur sa gauche, l’objet en bois qui avait la dimension d’un marqueur au bout du quel était rattaché une plume et un grelot, en plus entortillé dans la cordelette qui rattachait les trois éléments se trouvait uns boite pour mines de crayon dans la quelle elle rangeait ses fléchettes où une goute de son sang mêlé de magie faisait office de somnifère, tournoya en l’air faisant résonner le son du grelot puis fini sa course en heurtant le mur. Ce n’était pas très grave l’objet était assez solide pour résister sans soucis à ce genre de choc. Ce qui était problématique c’était qu’il lui ait échappé des mains sans qu’elle s’en aperçoive. Célia jura en silence. Sur ce coup elle c’était vraiment montrée malhabile. Quelle idiote elle aurait dû se montrer plus attentive et endormir la jeune Cruise lorsqu’elle se trouvait à porté de main.

Sali continuait de rire en se relevant. Certes elle avait raté de près l'objet, mais le son du grelot l'indiquait qu'elle avait réussi à faire échapper l'objet à Célia. Elle se précipita vers le mur contre lequel l'objet c'était cogner. Une chance que ce mur soit aussi le mur d'escalade ! Sali attrapa la boite d'une main, et posa l'autre sur un appuie. Utilisant son pouvoir pour pouvoir grimper plus rapidement, elle s'arrêta au niveau des poutres. Elle éclata de nouveau de rire, puis se cala contre le mur pour éviter de tomber, elle brandit l'objet au dessus du vide. Son sourire s'agrandit, pendant qu'elle agitait l'objet appartenant à l'infirmière depuis le haut du bâtiment. Elle demanda.

- Vous comptez faire comment pour récupérée ça maintenant ?

Sali n'avait aucune idée de ce que ça pouvait être, mais elle n'aller pas se risquer à toucher la pointe des flèches qui se trouvaient dedans. Sali se rendit compte qu'elle était monté tout en haut sans l'aide d'un harnais, descendre serra plus difficile. A moins que... Elle leva la tête en l'air et vit les baies vitrées, misent en hauteur pour permettre à la lumière naturelle d'entré. Son sourire s'agrandit de nouveau.

Pendant que Sali grimpait au mur Célia s’était emparée d’une arbalète et de flèches, malheureusement c’était aussi des flèches pour les entrainements et elles se terminaient par des bouchons en caoutchouc au lieu de pointe. C’était dommage car à ce moment précis Célia aurait bien plantée une véritable flèche dans l’épaule de la jeune fille qui l’exaspérait au plus haut point. Ceci étant dit même un bout en caoutchouc pouvait faire assez mal à cette distance et avec la puissance d’une arbalète. Bien sûre Célia était tout à fait capable de poursuivre la jeune fille sur le mur mais ça aurait était une perte de temps. Elle se mordit le pouce et laissa son sang couler sur une flèche.
« - Comment comptes-tu descendre ? Entière ou avec tout les os brisés ? »
A cette haute il y avait peu de chance qu’elle se bris tout les os mais elle pouvait bien s’en briser un ou deux.
« - Monter sans s’assurer est mauvais. Un accident est si vite arrivé. Tu pourrais t’assoupir au sommet du mur et tomber. »
Si elle touchait le bras déjà blessé de la jeune fille son pouvoir s’infiltrerait dans ses veines et elle pourrait l’endormir.
« - Je ne vais pas chercher à la récupérer. Je vais compter jusqu’à dix et tu me la rendras. »
Célia enclencha une flèche et visa en commença le décompte.
« - Un … deux … trois … »

Sali regardait Célia sortir l’arbalète. Elle connaissait déjà assez bien cette arme, car elle s'était entraînée avec un autre élève, et c'est dingue, mais ça fait drôlement mal. Mais le plus étrange est que Célia laissa son sang couler sur une flèche...

« - Comment comptes-tu descendre ? Entière ou avec tout les os brisés ? »

Sali eut un petite rire nerveux. Comme si une simple flèche allait la faire tomber ! Elle grimpa un peu plus haut en se rapprochant de la fenêtre, c'est alors qu'elle se rendit compte que la fenêtre ne s'ouvrait pas.

« - Monter sans s’assurer est mauvais. Un accident est si vite arrivé. Tu pourrais t’assoupir au sommet du mur et tomber. »

Sali éclata de rire et ne pu s'empêcher de crier pour que l'infirmière l'entende.

- J'avais raison ! Votre pouvoir c'est bien d'endormir !

Elle rit de nouveau. Une chasse à l'objet, elle avait enfin trouver un jeu. Certes c'était un peu dangereux de le faire avec un membre du personnel mais c'était trop tentant !

« - Je ne vais pas chercher à la récupérer. Je vais compter jusqu’à dix et tu me la rendras. »

Elle bailla légèrement comme pour dire "Tu ne me fais pas peur !". Elle continua de monter, jusqu'à se trouver au niveau de la fenêtre, elle s'assit sur le mince rebord. Elle savait comment faire pour sortir, si elle utilisait son pouvoir elle n'aurait pas à craindre la flèche. Elle ramena les trois balles à son niveau.

« - Un … deux … trois … »

Le sourire de Sali s'agrandit tandis qu'elle laissait ses jambes remuer dans le vide. A près tout, la flèche et l'arbalète, c'est comme les balles de tennis et sa force de frappe. Donc cette fois ci au mieux d'accélérée la vitesse de l'objet elle devra le ralentir. Elle se concentra sur l'arbalète.

Tout en comptant Célia observa Sali. Celle-ci ne semblait pas vouloir se rendre, elle tenta d’ouvrir la fenêtre et y échoua ce qui arracha à Célia un léger sourire. Evidement quel architecte laisserait une fenêtre s’ouvrir en haut d’un mur d’escalade à moins de vouloir que les grimpeurs ne tombent ?
« - … quatre, cinq, six... »
Elle cessa enfin de s’agiter. Elle préparait quelque chose, mais quoi ? Si elle comptait sur le faite que Célia n’oserait pas tiré pour la faire tomber elle se trompait. Même si par la suite elle allait perdre du temps à la soigner la jeune fille en pâtirait bien plus longtemps et ça suffirait à réjouir l’infirmière.
« - … sept, huit, neuf … »
Si elle comptait sur le faite que la flèche manque sa cible elle rêvait, il n’y avait aucune chance que ce soit le cas. Un seul tir manqué à faible distance dans la journée c’était plus que suffisant et elle ne l’avait déjà pas touché avec sans fléchette anesthésiante un instant plus tôt.
« - … dix. »
Célia pressa la gâchette et comprit dans la foulé. Elle voulait utiliser son pouvoir pour dévier la flèche. Elle enclencha une deuxième flèche et tira dans la foulé puis une autre et encore une et une dernière. Elle était quasiment certaine que Sali ne pourrait pas toute les arrêter. Malheureusement dans la précipitation seule trois sur cinq étaient enduite de son sang. Les flèches un deux et quatre. Mais ça Sali ne pouvait pas le savoir et avec un peu de chance elle n’éviterait pas une des bonnes.

Sali retient son souffle tandis que Célia faisait le compte. Elle devait se calmer, si elle laissait la joie prendre le dessus elle raterait son coup et se prendrait la flèche. Au neuf, une nouvelle idée arriva dans son esprit, elle se leva rapidement. Célia avait surement prévu qu'elle allait resté contre le mur, ou quelque chose comme ça...
Le sourire de Sali s'agrandit quand la flèche parti, en même temps elle avait fait un pas dans le vide. Et alors que Célia lancé une par une les flèches, Sali rigolait tout tournoyant dans les airs. Elle tenait toujours la boite dans sa main. Elle se tourna vers la fenêtre, elle n'avait rien... Pourtant Sali en était sûr que deux ou trois l'avait touché. Elle grommela.

- Du par balle... Franchement quel constructeur mettrait ça...

Elle inspira profondément, la seule sortie possible était l'entré. Sans réfléchir elle s'élança directement vers la sortie. Si elle restait là, avec l'infirmière qui avait énormément d'arme à porter de main ça irait mal pour elle. Dès qu'elle eut posait le pied dehors elle se mit à courir en direction des terrains des tennis...

La première flèche toucha la jeune fille à l’épaule, juste un peu trop haut pour que le sort fonctionne, la seconde et la troisième la vitre au dessus d’elle. La flèche quatre manqua Sali de peu et la cinquième heurta la porte de gymnase par la quelle la jeune fille venait de s’enfuir. Célia jeta l’arbalète au sol, se saisit d’un bâton et sortit à sa poursuite. Malheureusement en arrivant dehors elle n’aperçu pas sa cible. Elle se dirigea vers un groupe d’élèves qui trainaient dans le coin.
« - Vous n’auriez pas vu passer une fille au cheveux blanc à l’instant ? »
Ils la regardèrent un moment puis quelques uns secouèrent la tête. C’était sans doute des élèves de la classe C ou D, ce de la classe A trainaient rarement près des terrains de sport, ils semblaient peu enclin à l’aider. C’est dans ce genre de cas qu’il faut utiliser la manipulation.
« - Oh ! Je suis vraiment embêtée. Elle m’a prit un objet important et je ne sais pas comment le récupéré. Je suis sûre que des garçons comme vous seraient la retrouver mais moi je dois m’y prendre mal. »
Jouer avec l’égo de sont interlocuteur n’a rien de très compliqué, c’est juste une question de formulation.
« - On peut vous aider mademoiselle, si vous voulez. » Proposa un des élèves du groupe.
Trop facile.
« - Vraiment ! Je vous laisse faire alors. Appelez moi si vous la voyer. »
Célia regarda le groupe s’éloigner et se disperser. Bien, elle n’allait pas rester les bras croisé. Elle repartit à la recherche de la fugitive.

Sali éclata de rire pendant qu'elle tournoyait au milieu de terrain de tennis. La journée semblait s'annonçait vraiment amusante ! Elle déposa les trois balles dans une des drôles machines qui les lancent. Elle sortit des terrains et grimpa dans un arbre, juste à temps parce qu'un garçon passait devant. Il semblait chercher quelque chose, ou plutôt quelqu'un. Sali ne put se retenir de rire. L'infirmière n'était donc pas assez maline pour chercher toute seule ? La jeune fille fit le cochon pendu depuis sa branche et se retrouva nez à nez avec le garçon.

- Dis moi mon coco, qui cherches-tu ?

Elle eut du mal à ne pas éclater de rire. C'était un garçon de la classe C que des garçons de la classe D l'appelait "coco". Vu sa tête, elle l'avait surprise. Pour éviter qu'il ne s'enfuit elle l'attrapa par le col. Elle l'entendit bégayer.

- Une... Une fille au cheveux blanc...

évident. A la connaissance de Sali il devait bien y avoir une ou deux autres élèves aux cheveux blancs voir légèrement argenter. Tandis que ceux de Sali était blanc comme la neige. Sali sortit une des flèches de la boite à crayon, c'était le moment ou jamais de savoir ce qu'elles font. Elle piqua le garçon qui s'écroula presque aussitôt. Sali descendit de l'arbre et éclata de rire en entendant le garçon ronfler. Elle rangea la boite dans une poche de son pantalon, et ce dirigea vers le bâtiment principale.

Célia connaissait les moindres recoins du pensionnat, elle passer pas mal de temps à l’explorer lorsqu’elle était élève et il n’avait pas absolument pas changé, il semblait toujours aussi vieux et sur le point de s’écrouler. Il n’y avait aucune cachette où elle ne pourrait retrouver cette peste de voleuse, du moins en théorie. En pratique l’enceinte était quand même vachement étendu donc chercher seule prendrait trop de temps, c’était relou. Tout en cherchant elle croisa plusieurs groupe à qui elle refit le numéro de la pe... heu... pauvre fille qui avait besoin d’aide. Elle ne pensait pas vraiment qu’ils pouvaient la retrouver, il faut dire qu’elle ne croisait que des imbéciles des classe C et D, quoique Sali était aussi de classe D donc assez stupide pour ce faire prendre par l’un d’eux, mais en tout cas en voyant du autant personne après elle l’un d’eux l’apercevrait surement ou bien elle ferait une erreur.
« - Vous me seriez vraiment d’un grand sec… »
Célia était entrain de parler à deux jeune filles lorsque la jeune Cruise fit la première. Vers les terrains de tennis un élève s’évanouit. Elle pouvait le sentir.
« - Par ici. »
Elle couru jusqu’au bord du terrain et s’agenouilla près de l’élève pour le réveiller.
« - Tu vas bien ? »
Elle avait donc comprit à quoi servait sa sarbacane.
« - O.. oui… Je l’ai vu elle… m’a assommé ? »
Par où était-elle partie ? L’entrée du hall n’était pas loin et dans le bâtiment elle pourrait se mêler aux autres élèves. Célia jura et repartit, elle ne pouvait pas être très loin.

Sali se retient d'éclater de rire en voyant Célia se précipité vers les terrains de tennis. Bien caché dans un arbre elle attendait elle n'avait aucune envie que le jeu se finisse si rapidement ! Elle avait vu l'infirmière "recruter" des élèves pour l'aider à la chercher. Sali s'assit sur la branche tout en guettant la sonnerie. Parcourir le deux cent mètre qui séparait la forêt du bâtiment principale était assez risqué. Surtout qu'il n'y avait pas grand monde, mais quand ça sonne, on ne reconnait plus les lieu !
Quand la sonnerie retentit, a peine deux minutes après qu'elle ai vu disparaître Célia. Elle sauta de sa branche et se dirigea vers le bâtiment principale. Maintenant qu'elle y était ça serrait dommage que le jeu s'arrête. Elle se posta donc près de la porte, assez pour que Célia la voit et assez pour s'enfuir. Son grand sourire n'avait pas disparut. Ceux de la classe D, savent ce que signifie se sourire, et d'après ce qu'elle voit ils n'ont pas très envie de s'approcher. Sali attrapa le bras d'une fille de la classe D.

- Hum... Qu'est-ce qu'elle à dit l'infirmière ?

Sali se retient d'éclater de rire. La fille répondit avec un ton las, comme si c'était la vingtième fois qu'on lui demander ça.

- De la prévenir si on voyait une fille au cheveux blanc... C'est toi qu'elle cherche ?

Le sourire de Sali s'agrandit encore, elle serra un peu plus fort sur le bras de la fille.

- Et c'est ce que tu vas faire ?

- N... Non.

Sali éclata de rire et dit en lâchant son bras.

- Va plutôt de le faire, peut être que tu auras le droit à une sucette.

Elle éclata à nouveau de rire en voyant la fille s'éloigner.

Célia arriva dans le hall et se dirigea vers le bureau d’accueil.
« - Cyntia. As-tu vu passer Sali Cruise ? Cheveux blancs, habits noir … »
Elle écarta les deux filles qui discutaient avec la secrétaire.
« - La délégué de la classe D ? Elle est sortit un peu après midi. »
Célia fronça légèrement les sourcils. Cette fille idiote était déléguée ? Pas si étonnant en faite, après tout c’était la classe D.
« - Qu’es-ce que tu sais sur elle ?»
Cyntia était une vraie mine d’information si on disait qu’elle recensait tout les passages des pensionnaires ça ne serait pas très difficile à croire.
« - Que tu ferais mieux de pas la provoquer. » Dit-elle puis en voyant l’air mécontent de l’infirmière elle ajouta « Je te ferais savoir si je la vois mais ne me mêle pas plus à vos histoire. »
Célia haussa les épaules c’était déjà pas mal. Elle savait que sa proie n’avait pas rejoint le bâtiment principal. Elle retourna à l’extérieur, en traversant le troupeau des élèves elle aperçu dans un mouvement de foule un reflet blanc. Elle était trop petite pour vérifier par-dessus les têtes qu’il s’agisse bien de Sali mais elle en était convaincu. Sauf que si elle se dirigeait maintenant vers elle les personnes située sur son chemin l’empêcherait sans doute de l’atteindre rapidement et lui laisserait le temps de fuir de nouveau. Elle continua donc sur sa lancé en faisant mine de pas l’avoir remarqué. Puis soudainement dans un espace entre deux élèves elle balança vers la jeune Cruise une pierre qu’elle venait de ramasser. Et sortit du rang en bondissant par-dessus les corps qui s’évanouissait sous l’effet de son pouvoir. Elle se retrouva face à Sali.

Sali ne pouvait s'empêcher de sourire. Elle avait enfin trouvé quelqu'un avec qui joué. Elle pencha légèrement la tête sur le côté, elle avait cru voir des cheveux roux entre deux élèves. Elle se demandait si ça pouvait être l'infirmière. Mais Sali ne voulait pas prendre de risque que le jeu se termine trop vite. Elle s'apprêter à partir quand un bruit attira son attention. Elle se retourne et voit un Célia juste en face d'elle. Un sourire nerveux se dessina sur son visage. Elle utilisa son pouvoir pour lancer deux garçons imposant sur Célia. Sali éclata de rire tout en contournant les garçons tombaient sur l'infirmière et ce mit à courir en riant vers le hall.
Elle passa en riant devant le bureau d'accueil en riant, puis grimpa quatre à quatre les escaliers menant au premier étage. Elle s'adossa à un mur en posant les mains à plats sur ses genoux pour reprendre son souffle. Elle jeta un coup d'oeil par la fenêtre en souriant. Elle aurait surement des comptes à rendre avec ces deux types, ils doivent surement faire parti du club de sport. Elle éclata de rire et observa la cours. L'étage accueiller les chambres et les douches, donc presque aucun risque de croiser du monde.

(Désolé du retard je n'avais pas d'inspi)

[HRP : Ce n’est pas grave de toute façon je n’avais pas trop temps dernièrement.
En revanche ce serais bien si tu pouvais ne pas ignorer les actions que je fais et qui t’arrange pas ce serais bien. Pour la pierre que j’ai lancé à l’instant tu pourrais dire deux mots sur comment tu l’as évité.
Ce n’est pas pour t’embêter mais à chaque projectile que j’envois tu l’ignore alors que quelque fois il devrait en avoir qui te touche, ou du moins expliquer pourquoi tu les évites. Célia ne vise pas si mal que ça quand même ^^
Heu … encore une chose, es-ce que je vais encore insister un peu sur la foire au Rp pour avoir d’autre joueurs ?]

Célia jeta sa pierre vers Sali mais un malheureux élève se retrouva sur sa trajectoire ce qui alerta la jeune fille et Célia fut bousculer par un garçon victime de la lévitation. Elle l'endormie par réflexe, même si c'était inutile, et évita de peu de se retrouver sous lui lorsqu'il s'effondra. Elle n'eu aucun mal à esquiver le second mais lorsqu'elle chercha la jeune fille du regard celle-ci avait de nouveau détalée.
« -Par où est-elle allée ? » Demanda l'infirmière aux élèves qui l'observaient.
Personne ne répondit, Célia attrapa un garçon de la classe D qui semblait détourner le regard d'un air de dire "je sais mais je ne veux pas me mêler de ça." Elle lui tordit le bras vers l'arrière.
« - Je te conseil de répondre où je te le casse et il n’y aura personne pour s'occuper de toi temps que je n'aurais pas mis la main sur Sali Cruise. »
Il voulu utiliser son pouvoir pour se libérer et Célia ignorait de quel don il s'agissait mais elle s’en fichait, elle mit sa menace à exécution, dans la douleur se brisa et son bras et sa concentration. Elle le libera, le laissant tomber au sol dans un gémissement. Elle releva le regard vers les autres élèves qui lui indiquèrent l’entrée. Elle retint un soupire irrité et retourna à l’intérieur du bâtiment. En traversant le hall Cyntia lui indiqua l’escalier et Célia l’emprunta. Elle s’arrêta au premier étage ignorant si sa proie était allée plus haut où non. Elle allait de nouveau devoir demander son chemin.

[HRP : Je suis désolé >< Mais c'est que tu n'avais pas donnée beaucoup de détail sur la destination où la pierre devait atterrie en principe.
Pour la foire au Rp oui on pourrait insister un peu mais aussi enlever le truc "avoir un bon niveau dans la maîtrise de son pouvoir"...
J'essayerai de pas oublier les projectiles cette fois ><]

Je souris en traversant le couloir des dortoirs. Je me dirige vers une fenêtre se trouvant à l'extrémité du couloir. Soudain une porte s'ouvre violemment manquant de peu de me la prendre dans le nez. Je recula rapidement. Un type taillé comme une armoire à glace juste devant. Je ne sais pas pourquoi mais il me rappel vaguement l'un des deux types que j'ai utilisé comme bouclier. Un sourire nerveux se dessine sur mon visage, vu sa carrure je pariai sur un pouvoir physique. Il se tourna vers moi.

- Dis gamine tu saurais pas quelle garce à osée utiliser son pouvoir sur mon frero pour s'en servir comme bouclier ?

A tout les coups il ne devait surement pas croire que c'était moi qui avait fait le coup. C'est donc pour ça qu'il me disait vaguement quelque chose. Je bredouille.

-C'est... C'est une fille rousse, je... Je crois. Elle est petite environ 1m40 et... et des yeux verts ou bleus...

Je m'écarte poliment pour le laisser passer après qu'il est bredouillé un truc ressemblant vaguement à un merci. J'attendis de le voir disparaître dans les escaliers avant de sourire amusée. Ce que je venais de faire était peut-être dégueulasse mais au moins je pouvais espère encore un petit moment pour savoir ce que je ferrai. De toute façon l'infirmière n'a surement rien à craindre, elle est censée être plus forte que les élèves. Je me dirige vers la fenêtre en espérant que ça serrait la meilleur solution. Je l'ouvris en grand et observa l'entrée du hall.

« - Je te conseil de répondre où je te le casse et il n’y aura personne pour s'occuper de toi temps que je n'aurais pas mis la main sur Sali Cruise. »

Wahou, c'est la première fois que je vois Célia dans cet état, elle qui avait l'air si calme. Je me rappelle qu'elle était si calme durant la nuit où je l'ai rencontré, dans la bibliothèque. Elle était douce et ressemblait à un ange alors que là... Ce serait plutôt un démon sorti tout droit des enfers. Le garçon de classe D fuit sous les menaces de Célia et je la suivit.
A un moment où elle semblait perdue je m'approchais et lui demandait en souriant.

-Bonjour Mme Somey. D'après ce que j'ai entendu vous cherchez Sali c'est bien ça ?

Après avoir entendu ce qui se passait je me mis en quête de mon amie. J'entrais dans le hall de l'école et je la vis, cachée dans un coin. Je courus vers elle et la regardais.

-Sali ? C'est Célia qui m'envoie. Bah dis donc, t'as pas raté ton coup cette fois. Hum... j'hésite, devrais-je te dénoncer à Célia ou bien me cacher avec toi et mettre le démon dans une rage folle ?

Je la laissais un peu poiroter et paniquer puis je souris, me baissais et la poussais un peu.

-Je rigole Sali. Comme si j'allais te dénoncer à Somey. Par contre fais moi une petite place pour qu'elle ne nous voit pas.

Je rélféchis quelques instants et je la regardais, le regard brillant.

-J'ai une meilleure cachette ! Suis moi Sali !

Je me levais et me dirigeais vers la porte du gymnase.

-Cachons nous dans la remise, elle ne nous trouvera jamais.