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 Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde]

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Aslan Cortes

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MessageSujet: Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde]   Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde] EmptyMar 18 Mar - 12:25

C'était une journée calme, comme les autres, le ciel était encore teint par ce gris d'hiver, mais les arbres commençaient d'eux même à revivre. Au commissariat, tout avait été calme et paisible, quelques coups de fil concernant un vol d’ordinateur, des gens qui venez geindre d’une injustice pour leur voiture mal garée. L’inspecteur n’avait pas grand-chose à faire et cette tranquillité qui aurait du le reposer le mettait mal à l’aise. Il cherchait à comprendre la raison pour laquelle ces derniers temps, les crimes étaient moins courant, comme si une chose plus grosse encore allait arriver. Il avait même commencé à regarder les dossiers des rares hommes qui venaient, dans l’espoir d’y trouver une raison. Aslan n’était pas fou, il le savait, quelque chose se tramait. Ses pensées prirent fin avec l’entrée en scène d’un de ses collègues, du moins, ils faisaient tout deux parti de la police. Ce dernier cependant n’était pas comme les autres, personne ne lui faisait la remarque que ses cheveux rouge étaient déplacé pour travailler dans la justice, il était silencieux, discret, et regardé d’un œil morne les gens des environs. L’inspecteur connaissait son secret. Ils étaient tout deux de la même espèce, il l’avait vu un jour, en le voyant de loin. Ce pressentiment oppressant que l’homme n’était pas totalement humain, mais dès qu’il s’était rapproché, cette aura s’était calmée et il se demandait parfois s’il ne l’avait pas simplement rêvé. Mais non, en voyant le sourire de l’agent, il avait comprit que lui aussi savait ce qu’ils étaient tout les deux, mais ils n’avaient jamais parlé. Il avait clairement des privilèges et s’il savait quelque chose que Aslan ignorait, personne ne lui confierait ce qu’il désirait savoir.

Avec cet agacement d’incompréhension sur la situation actuel, il acheva sa journée de travail les sourcils froncés. Il ne rentra pas directement chez lui, mais fit un détour au parc. Il avait fini plus tôt que prévu, dans les environs de 17h30, à l’heure où les lycéens étaient tous de vadrouille dans les rues de la ville. C’était terrifiant de voir le nombre d’adolescents qui détenait une part de leur être caché, et ils venaient tous du même endroit : le pensionnat.

Il s’arrêta au milieu d’une faune modeste et encore dépourvu de vie. Les arbres aux alentours n’avaient plus de feuilles, quelques uns commençaient à reprendre vie, mais pas ceux autour du banc où il était. Il jeta un coup d’œil à sa montre, fronçant une nouvelle fois les sourcils. Une quinzaine de minutes à peine s’étaient écoulés, sans qu’il n’ai pu encore faire la moindre hypothèse. Il ne put en faire car à l’instant même où il se plongeait dans ses pensées, se tenant le menton entre le pouce et l’index, un brouhaha lointain le tira de ses rêveries. Il se concentra, identifiant la zone de turbulence à quelques minutes à peine toute compte fait, quelque part dans ce même parc. Il se releva en grognant, tournant la tête de droite à gauche pour y trouver un quelconque signe pour l’orienter. Aslan soupira et suivit son ouïe, sans savoir ce qu’il allait y découvrir, ni même s’il arriverait à temps pour être spectateur et témoin d’une potentiel dispute ou d’une « fête » entre potes un peu trop bourrés.

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MessageSujet: Re: Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde]   Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde] EmptyMar 18 Mar - 15:03

L'hiver est comme un immense tableau blanc et pur. Il est d'une blancheur éclatante et laisse l'imagination voguer ici et là à la recherche d'une muse. Une bien belle muse qui flotte dans l'air, dansante parmi le zéphyr, frivole comme le vent, elle s'amuse de son état de légèreté. Une peinture éternelle de l'artiste inconnu de ce monde. Dans une pensée comme celle-ci qui n'ajoute rien de plus qu'un silence chez le spectateur.

Un faible regard dirigé vers cette nuée d'oiseau qui dévore les miettes de pain qui sont jetées par ce vieil homme. Une suite d'événement, d'action qui l'intéresse peu. Un soupir, il n'aime pas ce silence, mais l'adore toutefois. Il est un peu contradictoire, sa tête se penche sur le côté en y pensant. Il est trop éparpillé, il n'arrive pas à se fixer un but précis, clair, et simple. C'est comme trop compliqué pour son esprit. Sa mâchoire se bloque, se concentre sur un seul point, celui de serrer encore et encore les dents. Il n'aime pas ce partage de pensée avec lui-même. Cette bête noire et lui, il trouve cela trop compliqué à dissocier. Ses iris d'un jaune d'or, ambré, ne lâche pas du regard les pigeons, il n'a qu'une envie et cette envie ne lui appartient pas. Il le sait que c'est l'autre qui veut y aller, jouer et surtout se défouler. Un long soupir s'échappe d'entre ses lèvres. Cette action le détend. Son ventre se calme, se détend lui aussi. Son esprit s'apaise, il arrive à ne pas vouloir quelque chose.

Son ouïe lui avertit de la cloche de l'église. Un coup. Il est et demi, mais bien avant il était cinq heures. Dix-sept heure trente. Ses paupières se closent, il prend une longue inspiration, avant d'entendre des pas. De l'ombre. Il redresse la tête pour les observer. Sa chevelure noire assombrit son visage, donnant une luminescence à ses iris qui en deviennent surnaturelle. Son air blasé au naturel les observent. Il ne fait que plisser le nez comme si cela puait, et ce n'était pas faux. L'odeur de la cigarette c'était très peu pour lui. Il se redressa lentement pour leur faire face, du moins, il aurait pu, s'il n'était pas petit pour son âge. Le silence combla le silence. Doux euphémisme.

Les minutes et secondes passent. Des cris et hurlements. Des gestes flous et des mouvements brusques. Un grognement et des claquements de crocs. Que c'est-il passé ? Les lycéens n'ont plus cette volonté d'être calme et respectueux. En bande, ils se prennent pour des caïds, mais c'était sans compter qu'ils puaient tous d'une odeur qu'il n'avait sentit que rarement en dehors de cette ville. Le regard vif, les mouvements souples, il avait bondit pour éviter un geste qui ne venait pas. Kyle n'était pas dupe, il sentait cette odeur se renforcer. C'était un amusement pour eux. En bande, une personne seule ne ferait absolument rien, mais c'était faux. Acculé, le noiraud se sentait oppressé, il sentait cette chose s'énerver, il découvrait ses dents de ses lèvres pour les menacer de reculer. Des rires et des mots qui veulent le détendre. Non, c'est trop pour lui, ce ne sont que des mensonges. L'homme possède l'arme ultime de savoir mentir. Le métamorphe ne sait pas, l'animal a trop déteint sur lui, il est incapable de mentir, mais ressent le mensonge, c'est trop dur pour lui d'accepter. C'est ainsi qu'une simple altercation assez violente peut vite terminer en rixe.

C'est sous le ciel de l'hiver, de cette peinture oubliée que le jeune homme avait reculé pour s'accroupir, se recroqueviller comme pour attaquer. C'est sous ce ciel d'hiver que le groupe s'amusa. Quelques questions, une réaction d'incompréhension et cela déclenche des conséquences irrévocables.

La patte sur le torse d'un des garçon, les crocs qui claquent près de son visage. La bête s'ébroua vivement pour ancrer son regard dans les prunelles d'un autre qui s'approche. Un grondement sourd roule au fond de sa gorge. Menace auditive qui veut simplement leur dire de reculer, de le laisser partir. Un mouvement sur le côté, le fit brusquement tourner sa tête massive de lupin. Babine retroussée, il fixe cette autre personne, baissant sa tête vers le torse du lycéen sans quitter du regard ce nouvel arrivant. Il est perdu, confus, il ne sait plus quoi faire, ni quoi penser. Trop brusque, ils l'ont rendu ainsi : confus. Il ne comprend plus ce qu'il fait, ce qu'il a bien pu se passer. Il s'est réveillé après un long sommeil, il avait été devant un attroupement d'humain.

Son corps massif et musculeux, ses pattes qui écrasèrent sous son poids le torse de l'homme, et son appendice de loup qui battait l'air. Il était comme l'objet d'une foire déguisé en zoo de l'horreur. Il recule lentement, les oreilles basses. Il fixe tour à tour les gens en grondant. Avertissement. Il est perdu. Sa patte arrière butte contre quelque chose, il se retourne vivement pour voir des tissus. Les images lui rappelle que ce sont les siens, il a eut le temps de les retirer, du moins son pull trop grand pour ne pas le déchirer. Il reprend son observation de la troupe. Les lycéens reculent en aidant leur ami, l'autre homme semble s'approcher, il grogne contre lui, en faisant un léger bond en avant, toujours le corps rasant le sol, il continue de reculer, il sent le buisson l'envelopper, il n'aime pas ce qu'il voit, il n'aime pas cette odeur. Il préfère se cacher pour ne pas se comporter comme une créature sauvage, il possède encore cette lueur d'intelligence qui le différencie des animaux sauvages. Il n'arrive pas à comprendre. Il est tout simplement perdu. Ses yeux suppliant presque de le laisser tranquille.

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MessageSujet: Re: Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde]   Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde] EmptyMar 18 Mar - 19:04

Lorsque Aslan arriva devant un petit troupeau bipède, il se glissa parmi quelques spectateurs qui regardaient des adolescent avec effarement. Leur inquiétude n'était pas concernant la victime, mais ces même garçons qui, quelques heures plus tôt, les auraient exaspérés au plus haut point. Un chien grognait contre la foule, dévoilant des crocs aiguisés et dangereux. Ses prunelles de couleur fauve luisait dans l'obscurité des branches, accentuant l'or de ses yeux au milieu de cette fourrure noir. Aux yeux de tous, il n'était qu'un stupide animal qui venait d'agressait un être humain, pas aux yeux de l'inspecteur. Sa vision lui fit voir ce que les autres ignoraient. Le canin n'était pas celui qu'on croyait, une aura humaine quasi translucide enveloppait la forme voutée. Il se frotta les yeux d'une main, croyant rêver, mais ce n'était pas la première fois qu'il assistait à des "métamorphes" et par bonté, il lui vint en aide. Il ne brandit pas son badge d'inspecteur pour écarter la foule, au contraire, il écarta quelques passants curieux pour se frayer un chemin.

Le prédateur commença alors à reculer, retournant auprès d'un buisson pour s'y cacher. Pas une seule fois il ne tourna le dos à ses agresseurs, continuant sans cesse de contempler avec rage ces gens qui le regardait. Certains murmuraient qu'il fallait appeler la fourrière, d'autres qu'il fallait l'euthanasié. D'un regard froid et dur, Aslan les toisa et ceux qui le remarquèrent se turent. Il s'excusa auprès des adolescents, se faisant passer pour le propriétaire de l'animal... Il craignait cependant que ces derniers aient réellement assister à la scène d'une métamorphose, mais qui les croiraient ? Le policier jeta un regard indécis sur la cachette de la bête. S'il partait maintenant, il ne lui arriverait rien et ce ne serait plus qu'un souvenir comme un autre, qu'il rangerait dans un dossier classé "sans importance". Sa mémoire était comme cette armoire dans laquelle on rangeait les affaires, tout était clair et strict, sans aucune bavure.

Soupirant faiblement, il secoua la tête en allant vers ce buisson, découvrant pour la deuxième fois le chien au pelage ébène. Il se stoppa, craignant que le mastodonte lui saute à la gorge et le déchiquette, mais dans ses yeux, il n'y avait aucune crainte, simplement de la compréhension et de la pitié. Le don dont il avait hérité lui permettait de découvrir ce que les gens étaient vraiment, on ne pouvait pas vraiment dire qu'il était génial... Mais à défaut de ne pas être cool comme spiderman, lui n'aurait aucun problème avec personne. Qu'importe qu'il ne soit pas une sorte de x-men, il pourrait au moins se faire passer pour quelqu'un de normal et non pas pour un monstre. L'adulte resta immobile, puis enfin, il posa un genoux à terre, tendant une main vers lui. Il ne savait pas s'il viendrait à lui, en revanche, Aslan se doutait déjà de l'air malin qu'il aurait si ce dernier décidé de lui tourner le dos pour partir l'air de rien. Comme pour l'encourager à venir à ses côtés, il prit la parole d'une voix plus froide qu'il ne l'aurait voulu, certainement dû à son caractère cynique et perfectionniste.

- Je sais.

Cette phrase aurait pu paraitre bizarre et pour cause... Elle l'était. Mais l'adulte espérait silencieusement qu'il comprendrait ce qu'il essayait de lui dire. Il espérait plus encore que l'homme ne soit pas aveuglé par la bestialité du canin apeuré qu'il était devenu.
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MessageSujet: Re: Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde]   Je n'ai rien à te dire [Kyle Wylde] EmptyMer 19 Mar - 13:38

Savoir, connaître, trouver. Trois mots semblables à des étoiles qui clignotent ici et là dans cette espace noir et sombre. Il sait. Il connaît. Il trouve. Les pupilles déjà dilatées de l'animal se rétractèrent, se rétrécissant. L'instinct grondant vivement contre cette forme imposante qui s'était agenouillée, qui tendait la main, aucune envie de s'approcher et encore moins d'obéir. Toutefois, cette voix lourde et sourde, glaciale et froide, le fit tilter simplement. Retour brusque en arrière. Vision de cet homme à barbe. Sa tête de massive rasa le sol toujours plus. Sa patte se levant pour la poser devant soi, approchant lentement, sans toutefois se presser. Petits pas par petits pas. Il approcha malgré les sons humains qu'il entendait derrière cette ombre. Cette vision d'ordre et de froideur, il connaissait. Il reconnaissait cette façon de parler, ça lui parlait énormément. Les branches agrippèrent sa fourrure d'ébonite, tiraillant certaines zones avant de s'en dégager oreilles basses. Il en rampait presque, le regard fixé sur bon nombre de formes, son appendice traînant sur le sol alors qu'il rampait. Babines retroussées, crocs dévoilés. Son esprit se perdait dans un recoin sombre d'une part d'ombre. Il sait. Son odeur est la même que les autres, mais plus discrète comme une senteur boisée et chaude. Une effluve agréable et épicée, quelque chose qui n'est pas aussi fort que les autres. Possède t-il un peu de ça ? Est-ce réellement quelqu'un dans ce sens-là ? Ses paupières se baissèrent, voilant son regard d'ocre pour ensuite les relever pour le scruter comme si des cisailles pénétraient la peau de cette homme et la déchiquetait.

Il s'était abaissé à sa taille, il avait fait cet effort comme si lui-même lui appartenait ? Ses oreilles se redressèrent vivement. Il voulait faire croire que cette bête sombre était à lui ? Pour le sauver ? Son esprit tourna, retourna la situation dans tous les sens. Il réfléchissait, reculant d'un pas en hésitant. Son esprit conclue rapidement à cette hypothèse qu'il voulait le sortir de ce bourbier à l'aidant et en jouant la comédie. Il ne savait pas mentir, il n'y arrivait pas, mais peut-il se comporter comme tel. Sa gueule entrouverte lâcha un soupir, un souffle qui signifiait que la pression diminuait. Il finit par approcher toujours aussi hésitant, sa tête frôlant l'herbe, il redressa la tête pour coller son large front contre la main. Voix bourrue, lourde sensation d'ordre, de commandement qui le mettait en confiance de par son expérience. Il frotta sa tête contre cette main, continuant, jusqu'à fermer les yeux et lâchant un grondement lourd. Sa patte tape faiblement le sol, grattant de ses ongles l'herbe, la terre. Kyle releva la tête pour frôler la paume de la main de ce type de son museau. Un coup d’œil sur le côté pour observer les gens, grognant fortement devant les mouvements. Sans cette forme, je n'aurais peut-être pas eu le choix, j'aurais accédé à cette requête.

Il sentait le bois, la chaleur, la senteur que ce bois exaltait lorsqu'il brûlait, c'était moins agressif que ces essences qui lui piquaient le nez comme des épices mal dosés. Il sait, il connaît, il trouve. La bête s'approcha encore jusqu'à s'asseoir sur son séant et dévier la trajectoire de sa tête pour coller sa boîte crânienne contre le poitrail de l'homme. Il agissait simplement comme celui-ci semblait vouloir qu'il agisse pour ne pas avoir plus de problème qu'il en causait. Ses oreilles droites frémirent en bougeant vivement, s'abaissant par la suite sur le côté comme s'il avait une oreille cassée. Le loup se calquait sur le comportement de son cousin Berger Allemand, il extériorisait ce qu'il avait déjà vu pour ensuite reproduire. Il faisait un effort de battre la queue sur le sol, signe qu'il était heureux, mais en réalité, sa tête recula pour l'observer, un air profondément blasé et ennuyé de la mascarade qu'il devait interpréter pour ne pas se faire embarquer par eux. Les mots tel que « chien » avait trouvé leur chemin à son ouïe. Il n'était pas un chien, sa taille plus grande que l'anormal le confondait avec ceux-ci, mais le contexte qu'il se soit réveillé dans ce parc dénotait qu'une hypothèse valable celle du chien errant et non pas d'un animal sauvage.

Un doute semble flotter dans l'air. Les adolescents l'observaient en fronçant des sourcils. Un faible grondement roula dans sa gorge. Continuer cette mascarade alors qu'eux-même avaient vu ce qu'il était, pourquoi pas, mais personne ne croirait ce qu'ils diraient. Sauvage se tint bien droit, assis sur son postérieur, il continua d'observer cet homme avant de se relever, reculant un faible instant avant de faire volte-face et de marcher d'un pas lourd vers les morceaux de tissus qu'il attrapa avec ses crocs pour ensuite les rapporter vers cet homme. S'il arrivait à comprendre le manège qu'il jouait avec lui. Ce rôle qu'il s'obligeait à interpréter pour que cet humain n'ait pas plus d'ennui alors qu'il tentait de l'aider. Cette sensation qu'il avait sentit, son regard qui puait la pitié à plein nez. Il lâcha le tee-shirt pour ensuite s'asseoir, le poitrail bombé comme un bon chien obéissant, ce qu'il détestait donner cette impression, mais que pouvait-il faire de plus ? Rien. C'était pas possible pour le moment, il n'avait rien à faire à part obéir un court instant à cet homme qui avait la même sonorité que Max'.
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