Arrivée, découverte, réquisition

Après les derniers événements, je pensai prendre un temps, allonger quelque part, pour réfléchir à tous ça. Il fallait avouer que c'était quand même pas mal "scénario de film". Après avoir achever ma quête de personnalité, je me retrouver devenir quelqu'un d'autre, Morishima-senpai lui devait bien ce marrer en pensant a tous ça. Mais pour moi, l'important était de trouver ma chambre. Je savais de par celle qui m'avait remis la clé que c'était une chambre à sept, mais incomplète.

"La numéro dix-huit, surement une chambre pour les nouveaux, habité par un ou deux ancien, c'est souvent comme ça que sa marche dans ce genre d'établissement."

Sur cette pensée, je me stoppa devant la porte, accrochant sur l'épaule gauche, afin de saisir la clenche de la main droite.

"Bon, petit rappel rapide, ce pensionnat est fait pour les gens spéciaux, mais pas forcement pour les génie, ce qui n’empêche pas de surprise. Mieux vaut entrer comme un autre élève, sans non plus me faire passer pour un crétin... Voila, je vais utiliser une facette neutre et originale, enter d'un bonjour anodin et général, pour me poser et pouvoir réfléchir. Cette idée me semble bonne pour appréhender ce pensionnat en douceur.

J'entrai donc comme selon ma réflexion, lâchant un "bonjour" presque inaudible, afin de poser mes affaire sous un lit, vide, pour finir par me posai allonger sur celui ci, me détendant ainsi de la tête aux pieds et pouvoir commencer a réfléchir comme prévu aux derniers évènements.

"Bien, je suis une personne a part, ça, se n'est pas une surprise. Mais maintenant, je suis selon Morishima-senpai, parmi les miens, Je penses qu'il à fait cela pour me permettre de développer mes facultés tout en continuant à exercer le métier qu'est le mien, ce qui n'est pas en soit une mauvaise idée. Mais maintenant, je dois me faire au fait d'être installer et entourer par un lieu et des personnes fixes, je ne changerais pas de foyer avant un moment, alors autant le faire mien au plus vite... Je penses qu'avec cela encré en tête, je peux faire un psychologue en or pour les pensionnaires. Je vais juste prendre un temps pour m'adapter. Voila qui est un bonne idée, mais pour l'instant, un repos bien mérité s'impose."

Je suis tranquillement assise sur mon lit en train de remonter Mays quand j'entend la porte s'ouvrir. Un jeune homme entre, il dégage quelque chose d'étrange. Il murmure à petit bonjour avant de s'installer sur un lit vide. Au moment où je vais répondre la porte s'ouvre une nouvelle fois, cette fois, c'est un jeune adulte qui entre, murmure à son tour un "bonjour" et va s'installer.

Je me sens un peu déroutée, je ne pensais pas que la chambre allait accueillir une nouvelle personne, encore moins deux... En plus, il s'agit de deux garçons, je me sens un peu intimidée, toutefois, forte de mes bonnes expériences avec les gens dans le pensionnat depuis mon arrivée, je prend mon courage à deux mains.

- Bonjour.

Je me redresse, Mays proteste puis saute du lit pour aller inspecte le second arrivé.

- Je m'appelle Margot, Je suis en classe A, heureuse de faire votre connaissance, j'espère que vous vous plairez dans la chambre.

Je ne sait pas trop si je m'y suis bien prise, j'espère ne pas avoir l'air trop invahissante ou même indiscrète.

Je m'étais allonger sur le lit en silence, fermant les yeux pour réfléchir quelques instants, ne faisant plus attention a ce qu'il se passait autour de moi.

Je me demandai bien quel pouvait être les genres d'élèves, dans une école "normale" cela aurait était simplissime de définir un tableau mentale des personnalités, mais dans un tel endroit, surement que d’écouter et d'observer les choses avec patience aller m'aiguiller. s’était un peu comme un nouveau livre dont la suite était incertaine.

- Je m'appelle Margot, Je suis en classe A, heureuse de faire votre connaissance, j'espère que vous vous plairez dans la chambre.

En parlant de livre, je me demande bien quel genre de bibliothèque Black Rose possède, il faudra que j'aille faire un tour la bas a l'occasion. C'est que les livres sont tellement intéressants. S'était au moins un point positif a mon emménagement ici, il y avait une bibliothèque disponible dans mes moments d'ennuis.

-Je suis Odric Dulys, en classe B.

A ce propos, ce n'est pas que je craignais l'ennui, mais je devrais surement me trouver un poste de radio, pour le mettre dans la salle des psychologues. Je penses qu'écouter la musique qu'on apprécie le plus au quotidien est important. Surtout pour quelqu'un comme moi.

-Je me sentirai sans doute plus à l'aise si je n'étais pas ennuyé par des filles qui sont visiblement gênée de parler à un garçon. Franchement, faut se détendre un peu...

Je ne penses pas être complétement hors norme, mais étant donner l'étendu de mon esprit. Je penses que j'ai un besoin supérieure a la pratique, à l’écoute et l'observation de mes passions. Je finirais surement par devenir fou si je n'avais pas tout cela au quotidien. Ce qui me fait penser que je vais aussi devoir me trouver quelques tableau a accrocher sur le mur de la salle. En espérant que cette Alice qui est aussi psychologue ne soit pas contre.

Le premier s'est tout de suite effondré dans son lit, il se redresse négligemment.

-Je suis Odric Dulys, en classe B.

Ces quelques mots à peine prononcés, il s'allonge à nouveau puis lâche :

-Je me sentirai sans doute plus à l'aise si je n'étais pas ennuyé par des filles qui sont visiblement gênée de parler à un garçon. Franchement, faut se détendre un peu...

Cette réponse me laisse perplexe, c'est le première fois que quelqu'un se comporte ainsi avec moi depuis mon arrivée, je pensais que chacun était content de trouver un endroit où les gens sont ouverts et comme eux, mais apparemment je me trompe...

- Ce n'est pas la peine d'être grossier et de faire comme si vous me connaissiez

J'ai lâché cela un peu piquée, je déteste les gens aussi vulgaire avec des personnes qu'ils voyent pour la première fois, une des seules choses que ma mère m'a transmis d'elle.

Je me tourne vers l'autre nouvel arrivant qui semble s'être isolé dans sa bulle et ne pas tellement faire attention à nous, je suis gâtée semble-t-il... Vivement que Echo revienne...

Je me remet donc à travailler sur une petite automate pianiste, il me reste un engrenage à ajouter et je l'aurai terminée, cela fait déjà deux semaines que je l'ai commencée, avant mon arrivée au pensionnat. Je murmure en plaçant la pièce :

- Je vais t'appeler Estelle.

Je tourne délicatement sa clé. Elle me regarde alors, je souris, elle est bel et bien vivante.

- Tu nous joues quelque chose ?

Et une douce mélodie commence à s'élever.

Je marche dans le couloir des dortoirs d'un pas lourd. Squirrel trottine à mes côtés, la langue pendante. Il a l'air d’apprécier l'endroit. Pas moi. Je n'aime pas l'idée d'être dans un pensionnat en raison de ce que je suis. Différente. Je me sens vulnérable, un peu comme une bête de foire. Je sais que c'est nécessaire, mon pouvoir à besoin d'être canalisé, mais je ne peux m'empêcher de penser ça... Je m'arrête devant la chambre 18. Ma chambre. Déjà bien remplie à ce que j'ai entendu. Une mélodie résonne à l'intérieur. C'est plutôt jolie. Je mets ma main sur la poignée, ferme les yeux, inspire un grand coup et rentre.

Il y a effectivement du monde. Je ne prends pas le peine de saluer les personnes présentes, ma tête me fait mal, et tout ce que je veux c'est me mettre dans mon lit. Un peine ai-je fait quelque pas que des flashs me parviennent, en rapport avec la jeune fille rousse, on dirait. Je déteste ça. Je ne veux pas la connaître, mais pourtant c'est ce que je fait, instinctivement. Et j'ai encore plus mal à la tête. Je jette mon sac négligemment aux côté d'un des lits libres, et m'allonge sur ce dernier. La douce mélodie semblait venir du petit automate se trouvant sur le lit de la jeune fille, Margareth, ou plutôt Margot, d'après ce que j'avais vu de ses souvenirs. J'entendis Squirrel gronder devant un chat, automate également.

-Squirrel ! Au pied.
Il obéit avant de s'allonger à mes côtés, le regard toujours fixé sur "l'animal". J'adressa un léger sourire désolé à la jeune fille. Je n'aimais pas créer des liens, mais éviter les ennemis était un choix plus judicieux. Je décide tout de même de mettre les choses aux clair.

-Désolé pour Squirrel, il n'aime pas les chats et les inconnus. Tu t'appelle Margareth Missi-Franklin, mais tu préfère qu'on t'appelle Margot, n'est-ce pas ?

Normalement les gens ne me parle plus après avoir compris que je possédait un pouvoir. Ce pouvoir. Enfin, normalement. Comme quand je ne suis pas dans un pensionnat de mutants. Avec un peu de chance ça marchera quand même...

Juste après que mon automate ait commencé à jouer, la porte s'ouvre à nouveau, il semble que notre chambre ait du succès... J'espère que le nouvel occupant sera plus jovial ou au moins puis social ou sympathique, comme Echo.

Une autre personne entre, c'est un garçon... je ne suis pas sûre... non, c'est une fille, je sais reconnaître les personnes androgynes, l'étant moi-même un peu. Elle ne salue personne et se précipite vers un lit libre, cela semble mal parti par la sociabilité. Un chien la suit, dès qu'il aperçoit Mays il se met à gronder, bizarre, d'habitude les chien ne font pas attention à lui, il n'a pas d'odeur de chat... enfin, après tout, eux aussi ont le droit de se fonder sur les apparences. Sa maîtresse le rappelle à l'ordre puis se tourne vers moi d'un air désolé :

- Désolé pour Squirrel, il n'aime pas les chats et les inconnus. Tu t'appelles Margareth Missi-Franklin, mais tu préfère qu'on t'appelle Margot, n'est-ce pas ?

Je penche la tête de côté, un peu décontenancée.

- Comment tu...

Je m'interrompts soudain tandis que je me souviens de l'endroit où je me trouve. J'ai toujours du mal à m'habituer au fait que tout le monde soit comme moi ici. J'essaye de deviner ce qui a pu lui donner cette information.

- Tu... tu lis dans mes... pensées?

C'est un pouvoir puissant si c'est le sien, je me sens un peu mal à l'aise et en même temps j'essaye de me convaincre de ne pas l'être dans le cas où j'aies vu juste. De plus, je connais le sentiment d'être exclue à cause de ce que l'on est et je ne veux pas être la cause de ce sentiment chez d'autres.

-Comment tu...

Un fin sourire se dessine sur mes lèvres. Ca allait peut-être bien marcher finalement. Elle semblait décontenancée, cette expression sur son visage me plaisait.

Tu... Tu lis dans mes... Pensées ?

Ah... Pas si bien marché finalement. Un peu trop curieuse à mon goût... Mais pourquoi n'aurait elle pas le droit de savoir ? Si elle le demande...

-Non. Tu peux être rassuré là-dessus. Je sais ton nom et prénom parce-que tu viens de te présenter il y a quelque instant et je l'ai vu. Tu vois où je veux en venir ?

Mon sourire s'élargie, et je la regarde du coin de l'oeil en caressant la tête de Squirrel. Comment allait-elle réagir ? Je me le demandais. Soit elle poserait encore plus de questions. Soit elle me laisserait en paix. Je priais silencieusement pour que la deuxième possibilité l'emporte.

La nouvelle n'a pas l'air très sociale mais elle me répond tout de même, ça me fait plaisir.

- Non. Tu peux être rassuré là-dessus. Je sais ton nom et prénom parce-que tu viens de te présenter il y a quelque instant et je l'ai vu. Tu vois où je veux en venir ?

Elle ne lit pas dans les pensées... donc qu'est-ce que... ?

- Je pense que je sais... Je te suggère simplement de ne pas t’immiscer dans les miens, tu risquerais de t'y perdre.

Odric s'est redressé et nous regarde attentivement. J'avoue que cette intervention ne m'aide pas trop à comprendre le pouvoir de l'androgyne et m'intrigue sur celui du garçon. Tout en m'interrogeant, je me dis que finalement, nous pourrons peut-être bien nous entendre. Cela serait bien. Je me rend soudain compte que je ne sais pas encore le nom de la nouvelle. Alors que je vais lui demander, Odric intervient à nouveau.

- Est-ce qu'elle sait jouer d'autres choses aussi agréable ?

Je mets quelque secondes à comprendre qu'il parle de mon automate qui continue à jouer doucement. Je la regarde, puis me tourne vers le garçon.

- Je ne sais pas vraiment, tu n'as qu'à lui demander.

Estelle arrête ses mains au dessus du clavier et nous fixe.

L'un des deux garçon présent se mit à parler. Je tournai la tête vers lui.

- Je pense que je sais... Je te suggère simplement de ne pas t’immiscer dans les miens, tu risquerais de t'y perdre.

Un petit ricanement s'échappa de mes lèvres. S'il savait. Je voulus lui répondre, mais il me devança.

- Est-ce qu'elle sait jouer d'autres choses aussi agréable ?

Il s'adressait à la jeune fille. Je fronçai les sourcils.

- Je ne sais pas vraiment, tu n'as qu'à lui demander.

Le petit automate s'arrêta, et regarda le garçon. Je me redressai, agacé. Je n'existais plus ou quoi ? Je soupirai avant de me rallonger. Tant pis. Tant mieux. Je fermai les yeux pour me reposer. Ne faisant plus attention à ceux autours de moi. Si il ne voulais plus me parler, ça m'arrangeais. Je n'étais pas ici pour ça... Je posai ma main sur mon front. J'avais mal. J'étais bonne pour une migraine ce soir.

J'avais bien sur tout analyser depuis les premiers mots prononcé dans cette chambre... Je n'avais pas vraiment l'intention de dire quoi que se soit au départ, allonger sur le dos, les mains posé derrière la tête alors que je souriais finement les yeux toujours fermer. La mélodie de l'automate ne me détendais pas vraiment, bien qu'elle ne fut pas dérangeante. En faite, juste, des quelques notes aussi simpliste, cela ne me faisait rien... Le jeune homme lui semblait ne pas du tout vouloir qu'on lance la conversation avec lui, même cette automate l'avait intrigué, c'était tant mieux pour moi qu'on ne me gène pas du tout, car dans ce lit, je n'étais pas le psychologue, mais juste un mec fatigué qui se repose...Quant à la troisième arrivée, que je n'avais pas pris de temps de regarder, elle semblait, vouloir l'intention malgré son discoure de solitaire, j'étais plus qu'impatient qu'elle essaie de voir mon passés... Mon esprit la contrerait de suite, car entré dans celui ci, de quelconque manière qui soit, était chose impossible pour quiconque, cela allait surement être intéressant comme réaction, quand elle s’apercevra que voir mon passé est chose impossible... J'allais quand même, pour accélérai la chose, la tentai un peu d'essayer avec une simple psychologie inversée.

Toi qui vois le passé, je te préviens que voir le mien est impossible. quoi que tu fasse, mes souvenirs font partit de mon esprit et celui ci est impénétrable, tu perdrais ton temps et tu aurais surement une affreuse migraine.

J'avais dit cela de façon calme, toujours dans la même sensation de détente, mais toutefois, je l'avais prononçais asse fort, pour que, même si elle état en phase de concentration, elle entende mes mots. Quant au, "si elle essaye", je me souvenais de tout ces gens au pouvoirs de contrôle, de visons de future, de passé, des brideur de rêve, qui se sont acharné sur le pourquoi du comment avec moi. Mais cela était logique et bien bâtit, j'avais un esprit invulnérable et sur développé, au détriment d'un corps maudit de par ça fragilité... Cela était le don et la malédiction de la famille yuzuruh.

Alors que je me sentais enfin au calme, le deuxième garçon parla. (Moi qui pensé qu'il était sourd ou mué).

Toi qui vois le passé, je te préviens que voir le mien est impossible. quoi que tu fasse, mes souvenirs font partit de mon esprit et celui ci est impénétrable, tu perdrais ton temps et tu aurais surement une affreuse migraine.

Je posai mon regard sur lui, un sourcil arqué. Ça façon de parler était assez dérangeante, un peu trop mystique à mon goût... Alors comme ça il avait un esprit insondable ? Je lui souris largement.

-Je n'essayerai pas. Mon pouvoir décide de lui même, et tu n'as pas l'air de l'intéresser. Et de tout façon, si je pouvais, je ne rentrerais jamais dans les souvenirs des gens, mais tels est mon destin. Je reposa ma tête, lourdement sur l'oreiller, et fit un geste de la main, comme pour balayer ses dires. Et c'est gentil de proposer, mais j'ai déjà une migraine.

Après ses mots, je fermai les yeux, toujours un sourire aux lèvres. Cet endroit n'était pas si mal, finalement. Ça promettait d'être amusant.

[Hrp : Vu que toute la chambre est concernée, autant m'incruster :3 vous permettez ?]

Journée épuisante. J'avais vue Médusa aujourd'hui et nous avions réglées des problèmes concernant mon père. Ce fut donc exténuée que j'entrais dans ma chambre. J'avais les yeux fermés et j'avançais comme un zombie.

-Dormirrr...

Je tombais sur mon lit et me rendis alors compte qu'il y avait d'autres personnes dans cette chambre.. Je me figeais et me relevais brusquement, me cognais la tête contre le bout de bois du haut du lit et tombais au sol. Pas douée...
J'avais coupé court aux conversations, par ma maladresse.
Je relevais la tête, toujours écrasée au sol, et observais les personnes autour de moi... Je n'en connaissais qu'une seule, Margot. Les autres étaient des hommes. Je restait figée et me mis à rougir malgré moi. Mes membres tremblaient du fait de ma fatigue et je n'osais pas bouger.
Pourquoi faut-il toujours que je me mette dans des situations embarrassantes ? J'avais tellement... sommeil... Je clignais des yeux et m’évanouis, épuisée. Je n'arrivais plus à bouger et je restais immobile ainsi plusieurs secondes avant d'ouvrir à nouveau les yeux. Je m'assis et les regardais chacun à tour de rôle. Incroyable, il y avait un autre albinos ! Je souris.

-Pardonnez moi cette entrée du moins spéciale. Je m'appelle Echo Nightray et je suis en classe A. Enchantée de vous rencontrer !

[HRP]Pas de problème ! Plus on est de fous plus on rit et là on commence à être vraiment plein


Je prend la machine et la tend à Odric pour qu'il la prenne. Pendant qu'il fixe Estelle sûrement en train de se demander comment aborder la conversation avec une automate, le deuxième garçon se redresse et s'adresse à l'androgyne.

- Toi qui vois le passé, je te préviens que voir le mien est impossible. quoi que tu fasse, mes souvenirs font partit de mon esprit et celui ci est impénétrable, tu perdrais ton temps et tu aurais sûrement une affreuse migraine.

La pouvoir de la dernière arrivée serait donc donc le pouvoir de voir le passé, oui, ça correspond bien. Par contre, le pouvoir des deux garçons est encore totalement mystérieux pour moi...

-Je n'essayerai pas. Mon pouvoir décide de lui même, et tu n'as pas l'air de l'intéresser. Et de tout façon, si je pouvais, je ne rentrerais jamais dans les souvenirs des gens, mais tels est mon destin. Je reposa ma tête, lourdement sur l'oreiller, et fit un geste de la main, comme pour balayer ses dires. Et c'est gentil de proposer, mais j'ai déjà une migraine.

J'étouffe un léger rire, c'est bien répliqué. Alors que je me retourne vers Odric pour voir s'il trouvé quelque chose quand la porte souvre sur Echo. Je vais la saluer quand je remarque qu'elle a l'air bien fatiguée.

- Dormirrrr....

Elle s'effondre sur son lit avant de remarquer la présence de nouvelles personnes dans la chambre, en se redressant elle se cogne la tête et tombe de son lit.

- Echo !

Je me précipite vers elle, au sol, elle tremble et semble paniquée.

- Calme-toi Echo, tout va bien.

Elle ferme alors les yeux et perd connaissance un instant. Je m'approche sans oser la bouger de peur de la gêner plus qu'autre chose, mais heureusement, elle se réveille vite et s'assoit doucement. En regardant autour d'elle, elle semble un peu rassurée et sourit même.

- Pardonnez moi cette entrée du moins spéciale. Je m'appelle Echo Nightray et je suis en classe A. Enchantée de vous rencontrer !

J'ai un petit rire nerveux.

- Tu m'as fait peur, tout va bien ? T'as vu, on a eu plein de nouveaux d'un coup.

-Je n'essayerai pas. Mon pouvoir décide de lui même, et tu n'as pas l'air de l'intéresser. Et de tout façon, si je pouvais, je ne rentrerais jamais dans les souvenirs des gens, mais tels est mon destin. Je reposa ma tête, lourdement sur l'oreiller, et fit un geste de la main, comme pour balayer ses dires. Et c'est gentil de proposer, mais j'ai déjà une migraine.

Voila qui était rassurant, elle ne se mettra donc pas en danger d'elle même, et son pouvoir en s'apercevant de son impuissance face a mon esprit, devrait renoncer de lui même.

"Tant mieux pour moi qu'elle n'est aucun contrôle sur son pouvoir, je n'aurais pas à me sentir responsable de ces futures migraines"

Sur cette pensées, je me réinstallai dans mon lit pour fermai les yeux, c'était pas tout ça, mais si je pouvais m'assoupir un peu, ce serait parfait, en plus, malgré une nouvelle entrée dans la chambre, le calme semblait retomber. Quoi que...

- Echo !

La nouvelle s'était frapper la tête et évanouit, "Pas très maline". Mais bon, a part la fille au boite a musique sur patte, personne ne s'inquiéta vraiment,elle avait juste du avoir une journée charger, en plus de ne pas être très douée.

- Tu m'as fait peur, tout va bien ? T'as vu, on a eu plein de nouveaux d'un coup.

C'est sans un bruit, que je retourna à l'opposé d'autrui, pour lentement fermer les yeux, les histoire de gamins, si ils n'avaient pas besoin d'aide, cela ne m’intéresser pas... Surtout si je suis fatigué, alors la, fallait même pas imaginer me voir sourire.

- Pardonnez moi cette entrée du moins spéciale. Je m'appelle Echo Nightray et je suis en classe A. Enchantée de vous rencontrer !

C'est cela, bonjour, enchanté, Bla... Bla...Bla... Je commençais alors doucement a m'assoupir. Et dans mon état, je plaignais tout être qui me générais, même cette Cpe démoniaque ne pouvait imaginer a qu'elle point j'étais sadique avec quiconque me réveil.

"Je me nomme Odric Dulys, ma chère. Êtes vous, vous aussi, mise mal à l'aise par les hommes ?"

Mes vieux court revenaient alors dans mon esprit en phase d'endormissement,

"Ce genre de chose sont souvent du a un symbole masculin en déclin dans l'enfance, ou a une situation traumatisante mettant en scène un homme déclin..."

Je m'endormis sur cette dernière pensées sans un mot, ce qui pourraient leurs arrivée, je m'en fichait royalement, je vouais juste dormir en paix.

En reposant ma tête sur l'oreiller, j'entendis Margareth étouffer un petit rire, et je ne pus m'empêche de sourire. Alors que je commençais à m'assoupir, la porte s'ouvrit sur une jeune albinos. Elle semblait épuisé et se dirigea vers son lit pour s'effondrer... A côté. Je la regardai avec pitié et dédain. Je n'aimais pas les filles de ce genre, maladroite et tout le tralala. Margo se dirigea vers elle avec agitation, me faisant grogner.

-Echo !

Alors la nouvelle s'appelait Echo. Drôle de nom... Je fut surprise de voir le deuxième garçon, celui albinos également, se lever vers elle. La jeune fille c'était réveillé, et semblait assez déboussolée. Le jeune rousse essaya de la rassurer.

- Tu m'as fait peur, tout va bien ? T'as vu, on a eu plein de nouveaux d'un coup.

Le jeune homme s'approche des deux filles qui c'étaient installées sur le lit, et à ma grande surprise pris la main frêle de la jeune fille pour embrasser le bout de ses doigts.

- Je me nomme Odric Dulys, ma chère. Êtes vous, vous aussi, mise mal à l'aise par les hommes ?

Le "aussi" semblait viser Margareth. Je me remis à sourire en secouant la tête. Les gens ici étaient vraiment intéressants, et assez amusants. Je jettai un coup d’œil au rouquin, il semblait s'être endormi, tant mieux. Je ne l'aimais pas. Je le trouvais prétentieux. Je regardais le groupe qui c'était formé près du lit de la nouvelle, voulant suivre la conversation, sans vraiment y participer.

- Tu m'as fait peur, tout va bien ? T'as vu, on a eu plein de nouveaux d'un coup.

- Je me nomme Odric Dulys, ma chère. Êtes vous, vous aussi, mise mal à l'aise par les hommes ?

Je les regardais un par un et je me retins de rire. Pas de me moquer non... Je regardais mes nouveaux compagnons de chambre et mon regard s'arrêta sur Margot. C'est alors que j'entends un autre garçon dire, en s'adressant au roux :

- Garde tes propos pour toi tu veux. On t'a rien demander. Tu trouve ça amusant de pouvoir étudier le gens comme ça ? Moi pas. Alors remballe toute tes phrases savantes, on en veut pas, ou du moins, je n'en veux pas. Tu peux te rendormir maintenant, ton silence sera reposant.

Oh, il y a de l'orage dans l'air. Je regardais à nouveau mon amie et je vis qu'elle paraissait inquiète... Je m'étais déjà relevée après le baise-main que m'avait fait le garçon possédant la même couleur de cheveux que la mienne.

-Ne t'inquiètes pas Margot. Et oui, j'ai vu.. J'espère que pour toi ça ira !

Elle avait peur des garçons mais moi, ça allait je regardais alors l'autre albinos, Odris Dulys.

-Non je ne suis pas particulièrement mal à l'aise avec les hommes, et ce n'est pas la présence de trois hommes dans cette chambre qui me rend nerveuse mais bien le fait que j'ai eu une journée... étrange.

Je repensais à Médusa et à ce qui s'était passé avec mon père puis je secouais la tête les joues légèrement rosées. Je m'assis sur mon lit et vit que ma peluche était bien en évidence... Je me sentis horriblement gênée et je l'attrapais puis la cachais discrètement. Je regardais ensuite celui qui avait grogné contre le rouquin et le rouquin lui même.

-Quel est votre nom ? ,je fis une pause et regardais l'autre garçon, celui aux cheveux blancs. -Et toi c'est quoi ton pouvoir ?

[hrp] Jintan, je pense que le fait que tu aies mis des " aux paroles d'Odric aussi ont dû favoriser l'incompréhension, j'avais mal compris aussi la première fois que je l'ai lu ^^" [/hrp]

Odric s'approche d'Echo, prend sa main, puis la baise doucement :

- Je me nomme Odric Dulys, ma chère. Êtes vous, vous aussi, mise mal à l'aise par les hommes ?

Il me semble qu'il me regarde du coin de l'oeil en riant légèrement, mais je ne fais pas attention, encore un peu inquiète pour mon amie. Celle-ci s'est rélevée et se tourne vers moi.

- Ne t'inquiètes pas Margot. Et oui, j'ai vu.. J'espère que pour toi ça ira !

- Oh, oui, ne t'inquiète pas, je ne suis pas à l'aise avec les garçons mais ça ne veut pas dire que je vais mourir avec quelques garçons dans la chambre.

Elle fixe Odric, semblant intriguée par lui.

- Non je ne suis pas particulièrement mal à l'aise avec les hommes, et ce n'est pas la présence de trois hommes dans cette chambre qui me rend nerveuse mais bien le fait que j'ai eu une journée... étrange.

Echo semble un instant perdue dans ses pensées, puis elle remarque sa peluche sur le lit, et tente de la dissimuler discrètement, je souris légèrement voyant ça. Elle regarde à nouveau les nouveaux :

- Quel est votre nom ?

Puis elle regarde Odric :

- Et toi, c'est quoi ton pouvoir ?

La jeune fille regarda Margareth, elles parlaient tout les deux, c'était amusant à suivre, mais totalement dénué d'intérêt. Elles se donnaient l'une l'autre, et à nous également, des excuses. Peu m'importait. Soudain, l'autre, la nouvelle, se tourna vers moi, et, de son regard, appuya sa question :

- Et toi, c'est quoi ton pouvoir ?

Je m'en étais trouvé surpris, un peu déséquilibré. Personne n'avait osé, depuis mon arrivé, me demander quel était-il. Je serrais machinalement et fortement ma montre dans ma main, me demandant si je devais leur dire, leur montrer, ou tout autre chose. Non, je ne voulais pas que les autres soient au courant. Seulement elle. Mais comment... Oh, mais je savais. Je lui pris la main, lui adressant un clin d'oeil qui se voulait rassurant, et cliqua sur le bouton pour régler l'heure, le tournant dans le sens inverse.

Sur le cadran, les aiguilles commencèrent par se stopper, puis entamèrent un tour dans le sens anti-horaire. La scène qui s'était déroulé se figea et se rembobina également. Pas elle, pas moi. Je laissai quelques instants s'écouler, trop peu pour vraiment entamer la réserve de ma montre, et appuyai à nouveau sur le bouton. Le temps reprit son "cours" normal, à ceci près que je venais de changer celui-ci. Reposerait-elle une question qu'elle venait de leur poser il y a quelques instants, alors qu'ils n'en avaient même pas conscience ? A elle de voir, mais de son choix dépendrait le futur... Je lui lâchai la main, et dit :

- Voilà... Tu sais, maintenant.

- Oh, oui, ne t'inquiète pas, je ne suis pas à l'aise avec les garçons mais ça ne veut pas dire que je vais mourir avec quelques garçons dans la chambre.

Je me mis à sourire devant les paroles de mon amie. Heureusement qu'elle n'allait pas en mourir ! ça ne serait vraiment pas pratique... Et puis il est vrai que, d'après mes observations, la gente masculine dominait cette chambre. C'est vraiment dommage...
Ce fut là qu'Odric répondit à ma question. Il me prit la main et me fit un clin d'oeil, je ne comprenait pas. Son pouvoir serait donc celui de faire des clins d’oeil aux gens ? Oh... Intéressant... Soudain, il cliqua sur le bouton de sa montre et je compris. Des images défilaient, c'était... nous ? Ma tête tournait puis tout s'arrêta. J'étais face à Odric, à l'endroit de tout à l'heure. Mes lèvres s'ouvrirent pour lui poser la question sur son pouvoir puis je lui souris. Il me dit que maintenant je savais et je hochais la tête. Les autres ne pouvaient pas comprendre, je sentais que j'allais bien m'entendre avec ce garçon. Je me rassis sur mon lit et regardait les deux nouveaux arrivants, je ne comptais pas celui qui dormais.

-Vous vous êtes bien installés ?

Ça changeait de la question précédente mais je trouvais ça bien !

-Vous vous êtes bien installé ?

Je posai mon regard sur la jeune albinos, que je trouvais un peu simplette, et hésitai à lui répondre. Si j'ouvrais la bouche j'allais sûrement devoir subir d'autre question du genre, ce dont je n'avais pas envie, mais en restant silencieuse, je risquais de me mettre les deux jeunes filles sur le dos, chose que je voulais encore moins. Dans cette école, mieux valais avoir de bonnes relations que de mauvaises, surtout que je ne connaissais pas le pouvoir de cette "Echo". Je finis pas choisir la première possibilité qui s'offrait à moi.

-Je viens d'arriver. Déclarai-je d'une voix morne. Mon nom est Sacha Killdore, Classe A. Poursuivis-je pour essayer de répondre tout de suite aux questions qui pouvaient suivre, sans divulguer pour autant mon pouvoir, aimant assez, je devais l'avouer, l'effet de surprise.

Squirrel grogna pour me faire comprendre qu'il ne voulait pas servir de décor.

-Lui c'est Squirrel. Je vous préviens, il mort. Je ne pus m'empêcher de rajouter dans un sourire en fixant les deux filles. Un peu comme moi.