Quelle belle journée 1 et 3/ [fermé]

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Ses vans traînaient lentement sur le bitume de la ville, il était au milieu d'une rue commerçante, un coiffeur à gauche, un magasin de chaussure à droite, une épicerie par là et un buraliste de ce côté, il était totalement paumé, il ne savait même pas pourquoi il était là. C'était normal j'avais encore du prendre le contrôle à la place de ce crétin avant qu'il ne ce fasse écrasé par une voiture, c'était encore une journée où je ne me reposerais pas. Jim était encore vêtus d'une chemise blanche puant l'alcool et d'un jean troué, taché avec de l'eau de caniveau, par automatisme il sortit la flasque argenté de sa poche qui était in-habituellement caché dans une pochette de velours, il se demandait d'où elle sortait, Jim ne pouvait même pas se souvenir qu'il l'avait acheté juste avant d'essayer de devenir une statistique de la route. Alors que Jim portait la flasque à sa bouche, on le bouscula soudain, il renversa de l'alcool sur sa chemise encore une fois, à l'odeur c'était du whisky.

Ouoh, fait gaffe le poivrot, tain tu pues

Jim regardait abasourdis, deux filles venaient de le bousculé, renversé sa boisson et l'avais insulté, alors qu'il était encore sous le choque. Une des filles se retourna soudainement alors qu'elle allait lui lancer un regard méprisant, l'étonnement y fit place et sans rien dire elle tira sur la manche de sa copine, qui se retourna. Après quelques secondes de réflexion, elle se dirigea vers Jim et avec un regard enjôleur

Hey t'as l'air de savoir t’amusai toi, ça te dirais pas de venir faire du shopping avec nous, tu payes d'accord.

Et sans laisser le temps à Jim de faire son choix elle l'attrapa et le tira. Il ne résista pas elles avaient l'air amusante la première fois qu'il rencontrait des originales comme ça, j'en voyais que des problèmes ambulant et ce crétin se jeter en plein dedans, je ne sais pas pourquoi, mais cette journée, je la sens pas.

Ils entrèrent dans une boutique, les filles commencèrent à faire des défilés, elles avaient vue le porte-monnaie de Jim et avaient commencé tout de suite après à courir partout dans le magasin. Il essayait de leur donner des avis les plus constructifs possible, mais il n'avait aucune idée de ce qu'il disait malgré-tout les filles appréciaient chacun de ses commentaires même s'il était dans un triste état, Jim n'avait pas perdus son toucher social. Après avoir acheté des montagnes de vêtements assez pour rhabiller trois villages paumé en Afrique, elles s’occupèrent de lui. Elles le poussèrent dans la cabine d'essayage, elles lui passèrent un costard d'abord, ça tombait bien Jim savait bien les mettre, alors qu'il sortait pour le montrer, les filles à son grand étonnement pouffèrent de rire entre quelques hoquets de rire l'une d'elle lui dit

N'importe quoi tu t'es pris pour un vieillard ou quoi, c'est pas comme ça qu'on porte un costume à ton âge

Elles tirèrent dans tous les sens, desserrant sa cravate, sorti sa chemise de son pantalon. Quand enfin elles avaient l'air satisfaites

Ok on achète ça et attend voir, essaye ça

Elles le renvoyèrent dans la cabine et lui envoyèrent un jean, un tee shirt blanc et un blouson marron avec de la fourrure noire au col

Tien mets ça, je suis sûre que ça t'ira on va pas te sortir en costard.

Il enfila les vêtements qu'on lui donna, les filles satisfaites ils passèrent au comptoir, payèrent les articles et sortirent. Il suivit les filles qui parlaient entre elles, parfois elles se retournaient vers lui et il leur faisait des sourir d'aprobation ou il rigolé, mais il ne comprenait rien, parfois elles parlaient de stars ou de groupe de musiques ou pesté contre des filles de leur lycée. Leurs pas les menèrent finalement devant un immeuble.

Attends là, on va poser nos affaires

c'était un chien maintenant ? Mais Jim fit comme elles lui avaient dit. Il fallut une dizaine de minutes avant qu'elles réapparaissent.

On va au parc, j'ai pris de quoi s'amuser un peu

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Ils étaient de retour devant l'immeuble, elles lui sourirent et rentrèrent. Ils auraient pu être un loup attendant après ces deux jeunes proies à dévorés, mais Jim étant Jim c'était plus un toutou attendant après ses deux maîtresses. La nuit était tombée depuis un petit bout de temps maintenant le vent soufflé doucement, à l'éclat de la nuit l'immeuble reluisait peu le seul lampadaire clignoté, des chats fouillés dans les bennes à ordure et des cris de dispute passés à travers certaines fenêtres. Cela faisait maintenant trente minutes qu'il attendait assis sur les marches, les yeux perdus dans le vide comme à son habitude quelqu'un aurait pu s'approcher de lui qu'il n'aurait rien remarqué, ce travail reposé seulement sur moi. Soudain les portes claquèrent derrière lui, l'une des filles posa sa main sur son épaule et passa devant lui, elles étaient habillées correctement pour des filles de leur âge pas trop vulgaire au moins c'est déjà un problème à rayé de la liste

Comment tu nous trouves, héhéhé

Parfaite.

Ahahah, quel charmeur

Répondit-elle d'une voix taquine, elles gloussèrent. Jim souri et ce leva

-Hé, mais enfaite tu connais un endroit qui accepte les mineurs?
-T'inquiète, je connais l'endroit parfait, ils vérifient rien héhéhé.
-Fait attention où tu nous trimballe quand même.
-Pfff, arrête de t’inquiéter je te dis, puis on a un mâle avec nous

Elles gloussèrent une seconde fois. Quelles idiotes si elles pensent être en sécurité Jim est incapable de se défendre et pour ma part c'est moi-même qui vous découperait si j'en avais l'occasion...

Ils s’arrêtèrent devant un escalier

-Ouoh tu nous à vraiment emmener dans un endroit comme ça, j'y crois pas
-Héhéhéh, t'inquiète on va s'amuser

Même si elle voulait le cacher elle descendit d'un pas peu rassuré vers la porte et toqua nerveusement à la porte, après une rapide rencontre avec un gros bonhomme baraqué, quelques billets verts sorti de la poche de Jim et ils étaient à l’intérieur. L'ambiance du soir était à l'éléctro techno et tout ce qui y ressemble, n'ayant aucune connaissance en ce genre de choses c'était plus du bruit qui atténuer mes sens qu'autre chose d'ailleurs accompagné des boissons qui fusaient dans le gosier de Jim n'arrangeaient rien. L'idiot avait apparemment prévue de tester chaque cocktail proposé

Voici votre carte de fidélitée monsieur.

Le barman arboré un petit sourire de coin tout en faisant glissé vers Jim un mouchoir plié, Jim le déplia soigneusement à l’intérieur se trouvait une petite pilule. Voici le bouquet finale tout le monde s'acharne sur moi pour faire de ma vie un enfer, bon Jim n'est pas assez idiot pour avaler le premier cachet qu'on lui donne. Jim regardais le barman avec un air dubitatif, l'autre tache le regarda, ce pencha vers lui et tout en souriant il lui murmura.

C'est un médicament pour s'amuser, si vous voyez ce que je veux dire.

Il avait fait, prononcé l'un des seuls mots qui pourraient convaincre Jim à prendre de la drogue. Il pris le cachet dans sa main pour le porter à sa bouche. Je devais faire quelque chose, encore du travail et pas le plus facile, le verre, le coude de Jim frappa de plein fouet le verre qui s'envola et renversa son contenu sur un mec à côté pour ensuite explosé par terre. Le gars ce leva d'un bond furieux et poussa Jim qui le fit reculé.

Qu'est-ce tu fais bouffon, t'as un problème ?

Je dus me rattraper avec le bar pour ne pas m’effondrer, entre temps Jim avait avalé la pilule, je devait la dégager le plus vite possible en vomissant, avec tout ce qu'il avait bu et le stress provoqué par l'hostilité de l'autre crétin ce n'était pas trop dur juste une petite poussée. Une gerbe sortit de ma bouche pour atterrir sur les chaussures et le bas de pantalon de l'agresseur, la pilule n'était pas là c'était trop tard elle s'était dissolu et allait bientôt agir.

Mais, je vais t’exploser espèce d'******* de ta ****

Je m'essuyais la bouche du revers de ma manche, quand je m’aperçus que le mec partait pour un coup de poing, en effet les amateurs ont tendance à lever leur poing avant de tapé pour prendre de l'élan, un amateur qui veut se battre avec moi, je devais le rétamé en un coup je n'avais pas beaucoup de temps avant que la drogue n'agisse, de plus je ne pouvais pas utiliser mon corps comme je l'entendait car cela pourrait accélérer l'effet de la drogue voir la multiplié, un seul faux calcul dans la purge de cette foutue merde et tout pourrais empiré, arg je n'avais pas le temps de réfléchir. Je bloquais son coup de poing gauche avec ma main droite le tira vers moi alors qu'il essaya de reculer pour que je lâche, je fis comme il voulait et avec les boissons qu'il avait pris, il fut déséquilibré vers l'arrière comme je l'avais prévue, je balançai un jab puissant de la main gauche en avançant d'un pas vers lui, il décolla littéralement du sol pour s'écraser sur des tables 2-3 mètres plus loin, la joue surement cassé.

Ma tête tournées j'avais trop réfléchi, calcul, prévisions? Quel âne je suis, la drogue commencée à faire effet, j'avais réfléchi pour envoyer par terre cette sous-*****, pathétique. Tout est si lumineux, je ne sens plus rien, la douleur dans mon poing alors que je venais de l'écraser sur la joue de quelqu'un, tout tournés autour de moi la musique était différente elle sonnait bizarrement, j'avais l'impression d'être dans une fournaise.

Qu'est-ce t'as fait à mon pote je vais te massacré!

Apparemment le gros balourd avait un ami, et il s'était remis du fait que j'avais balancé son pote de l'autre côté de la pièce, le temps que je divague. Il saisit une bouteille de la main gauche et essaya de l'exploser sur ma tête, j’interceptai la bouteille avec mon bras droit sur lequel elle se brisa en deux. Tandis que le fond de la bouteille vint tapé juste au-dessus de mon oreille, le tesson coupa mon bras, je lui balancais un crochet du gauche je ne contrôlais plus rien. La force que j'avais mit dedans fit tourné sur lui-même le mec qui s'étala sur le comptoir pour ensuite s'écrouler par terre, tandis que je tournais aussi sur moi-même emporté par l'élan je dut me rattraper au comptoir je ne sentais plus mes jambes seulement des fourmillements partout.

Jim!

Les deux filles c'était rendu compte du remue ménage au bar

Vous approchez pas! ou je vous tue, AHAHAHA oui je vous tue AHAHAHA

Les deux filles reculèrent effrayé tandis que je titubais vers la sortie, j'avais l'impression de fondre

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